Bio vs industriel : Qui gagnera ?

Dans cet article, nous allons vous parler des inconvénients et des avantages des produits BIO et  des produits industriels.

Bio vs industriel, the battle. Dessin de Lily et Gladys.

Tout d’abord, qu’est-ce que l’agriculture biologique ?

C’est une méthode de culture dans laquelle aucun pesticide chimique ni engrais chimique ne sont utilisés. Ils sont remplacés par des produits issus des plantes ou des animaux, comme le fumier ou encore, le compost.

Mmmmh… Il a l’air bon ce panier BIO. Source: maba blog

 

On ne va pas se mentir, les agriculteurs qui cultivent du BIO, ont le droit d’utiliser des pesticides, mais issus de produits naturels et respectant le cahier des charges.Ensuite nous allons nous pencher sur les produits industriels, qu’est-ce que l’industriel ?

« L’industrie consiste à transformer la matière au moyen de machines. Les produits industriels sont de mauvaise qualité car ils sont fabriqués à base de produits pas chers et qui sont donc de mauvaise qualité » nous a dit Thibaud Benaud, de l’association La Dépaysante.

Les avantages et les qualités du bio et de l’industriel.

Et ça c’est l’industrie !!! Source: le blog de imagiter.over-blog.com

Dans les produits BIO, il n’y a pas de conservateurs, donc on ne peut pas les garder trop longtemps… Mais ils sont bien meilleurs pour la santé que les produits industriels car les conservateurs sont mauvais pour la santé, et les produits chimiques, n’en parlons même pas…

Même si les produits industriels peuvent se garder plus longtemps que les autres et qu’ils font gagner du temps puisqu’ils sont pour beaucoup précuits, ils sont nocifs pour notre organisme.

Thomas Andrieu, du Lycée agricole de Voutezac en Corrèze, qui pratique l’agriculture bio, nous dit : « Le bio, ça ne veut pas dire pas transformé. On peut avoir des produits bios qui sont transformés, par exemple du pain bio, le pain est un produit transformé, ce n’est pas un produit de base. Un produit bio est un produit qui répond à des normes et une charte, c’est-à-dire que c’est un produit qui va utiliser peu de pesticides, qui va être respectueux de l’environnement. »

La question, ce n’est pas de savoir lequel va gagner, mais celui que vous voulez manger.

Sources des informations : AgenceBio, LaSantéDansL’Assiette et FuturaSciences.

                                                                     Article réalisé par : Gladys et Lily.     

Bien Bon Bio


Nous allons vous parler de l’agriculture bio et répondre à plusieurs questions. Nous avons aussi interviewé Thomas Andrieu qui travaille au lycée agricole de Voutezac en
Corrèze.

Source image : lamaisonbios.com

Qu’est ce que l’agriculture bio ?

L’agriculture biologique constitue un mode de production qui a recours à des pratiques culturales et d’élevage soucieuses du respect de l’environnement. Ainsi, elle exclut l’usage des produits chimiques de synthèse, des OGM et limite d’emploi d’intrants ( le terme intrant est employé pour désigner l’ensemble des produits qui ne sont pas naturellement présents dans le sol et qui y sont rajoutés afin d’améliorer le rendement de la culture. ).

Pourquoi l’agriculture bio ?

L’agriculture biologique est à privilégier car il y a moins de produits toxiques comme des pesticides, qui peuvent être dangereux pour la santé et donner des cancers. L’agriculture biologique fait aussi un geste pour la planète, pour l’environnement car il y a moins de produits toxiques. Enfin, en achetant des produits bio, nous aidons les agriculteurs engagés à continuer leur travail.

A bas les pesticides ! dessin fait par Emily

Le témoignage d’un acteur de l’agriculture bio

Nous avons interviewé Thomas Andrieu, qui est chef de culture sur  l’exploitation des jardins ruraux au lycée agricole de Voutezac. Nous lui avons posé quelques questions et voici ses réponses :

 

  • Est-ce mieux de manger bio ?

« Ça dépend de quel produit bio parce que, entre une tomate bio donc AB que tu achètes chez un quelconque producteur en juillet, ou une tomate bio que tu achètes au supermarché qui vient d’Espagne, ce n’est vraiment pas le même produit. Le produit du producteur d’à côté et qui est de saison est bien meilleur pour la santé que celui qui n’est pas de saison et qui vient de l’autre bout de la planète... »

Sources des informations : Bio provance, et FuturaSciences.

 

Article écrit par Emily, Samantha et Jade

 

Comment bien se nourrir ?

En 2019, beaucoup de personnes désirent manger plus sainement en France. Nous avons interviewé Madame Ville Sophie qui travaille dans un magasin local à Naves en Corrèze « Les récoltes locales », et qui a donné des conseils pour mieux se nourrir.

Mangeons mieux ! dessin par Maëlle

Tout d’abord, manger moins de viande!

Sophie Ville nous conseille de manger de la viande, une à deux fois par semaine seulement ; de nous renseigner sur son origine, en privilégiant les producteurs locaux du Limousin, et le bien-être animal. Depuis 1990, les Français suivent en partie ces conseils puisque la consommation de viande a baissé de 12% en dix ans, sauf celle de volaille qui a augmenté.

Autre conseil : manger bio!

 

photo prise pendant notre interview de Sophie Ville, le 21/03/2019

L’agriculture biologique est un mode de production agricole qui protège l’environnement et qui respecte la vie des animaux. Elle ne met pas de produits chimiques dans les cultures de légumes et de fruits.

Manger mieux!

Tout d’abord, il faut regarder les ingrédients des produits qu’on achète, pour éviter les produits ou additifs chimiques. Le mieux est de ne pas consommer de plats industriels, de cuisiner soi-même, de limiter les apports gras et sucrés, et de ne pas aller dans  les fast-foods. Il faut surtout manger des fruits et légumes saisonniers, manger varié, et, pourquoi pas, produire ses légumes ou herbes aromatiques.

 

Sophie Ville, salariée depuis un an dans ce magasin créé il y a cinq ans, nous parle de son engagement : acheter à des producteurs avant tout locaux, du Limousin. Ce n’est pas possible pour certains produits, comme le chocolat ou les agrumes : ceux-ci viennent du sud de l’Espagne, mais sont achetés directement au producteur qui vient lui-même les livrer à Naves, afin d’éviter les intermédiaires et les multiples trajets. De plus, le magasin privilégie les produits bio, ou non traités par des pesticides.

Sources : http://www.guerir.org/dossiers/le-bio/le-bio-qu-est-ce-c-est.htm / https://www.lemonde.fr/festival/article/2017/09/11 /https://www.lemonde.fr/planete/article/2018/09/06/

Article écrit par Maëlle et Océane

 

Consommer de la viande, quelles conséquences sur la nature ?

Aujourd’hui, la viande est un aliment omniprésent dans l’alimentation française. Nous allons nous intéresser à l’impact de la consommation de viande sur l’environnement. D’autre part, nous proposerons plusieurs solutions qui vous permettront de continuer d’en consommer, tout en se montrant plus responsables.

Consommons-nous trop de viande ? Source de l’image : halal-services.fr.

D’abord, quelques chiffres : qui consomme de la viande en France aujourd’hui?

En France, 96% des 69 millions d’habitants déclarent consommer de la viande. Cela pour des raisons multiples, comme le goût (72%) , les habitudes alimentaires (67%) et les bienfaits de la viande pour la santé (54%) car  88% des personnes interrogées estiment que la viande participe à l’équilibre alimentaire. Les végétariens et les Vegan représenteraient environ 2% de la population française.

L’élevage industriel, ça pollue ! Dessin Valentin et Valentin

Quels impacts sur l’environnement ? Pourquoi l’élevage pollue-t-il?

L’élevage en soi n’est pas très polluant, c’est l’élevage industriel qui l’est, car il produit des gaz à effets de serre, demande une consommation d’eau trop importante et des espaces toujours plus grands (qui participent à la déforestation), ce qui nuit dangereusement à l’environnement.

Comment manger de la viande de façon responsable?

Tout d’abord, nous nous sommes demandé quel était le problème de la viande en fast-foods… Nous avons interviewé Thibaud Benaud de l’association « La Dépaysante ».

Il nous a dit que les Fast-Foods servent de la nourriture tous les jours et en grande quantité. Il nous a également indiqué que la viande servie dans les Fast-Foods provient d’un élevage intensif, dans lequel les agriculteurs donnent des médicaments aux bêtes pour les faire grossir pour une production rapide, que les animaux sont donc élevés dans de mauvaises conditions et qu’ils viennent parfois d’ailleurs.

On peut conseiller de manger moins de viande, ce qui permettrait d’avoir des élevages plus petits et plus respectueux des animaux.

Sources des informations : La France Agricole, Le Monde

Écrit par Valentin bis.

Manger bien tout en consommant des protéines animales ?

En 2019, de plus en plus de personnes se tournent vers le végétarisme et le véganisme. Est-ce l’unique solution pour bien manger tout en préservant l’environnement et la santé  ?

Maïs ou cochon, même combat ! Dessin réalisé par Rémi et Enzo.

Tout d’abord, quelles sont les protéines animales ?

Quand on parle de protéines, on pense d’abord à celles qui proviennent des animaux : la viande (bœuf, volailles, porc, etc), le poisson, les œufs, le fromage, le lait…

Mais existe-t-il d’autres sources de protéines, qui ne viennent pas d’animaux ?

des produits riches en protéines, source de l’image : santé magazine

Nous trouvons en effet des protéines dans les légumineuses, comme les lentilles, les haricots blancs ou rouges, le quinoa ; ou encore le soja ; ou bien les fruits oléagineux comme les noix, les amandes ; ou encore les graines de citrouille ; enfin, les céréales…

Pourquoi limiter la consommation de protéines animales? Quels sont les impacts sur l’environnement ? Quels dangers pour la santé ?

Il faut limiter la consommation de protéines animales car l’élevage industriel, nécessaire pour répondre à la forte demande de l’homme, privilégie la quantité à la qualité. Les animaux sont donc élevés dans de mauvaises conditions : espace exigu, nourriture remplie de céréales, stratégies d’engraissement, comme des   médicaments pour faire grossir les animaux…

De plus, il y a un danger pour l’environnement car les grandes exploitations d’élevage industriel utilisent trop peu d’espace pour un trop grand nombre de bêtes, ce qui provoque une trop grande concentration de méthane, gaz à effet de serre produit par les vaches lors de la rumination et qui est nocif pour l’environnement.

S’il y a beaucoup de bétail, il faudra utiliser toujours plus de machine agricoles polluantes.

Enfin, les surfaces d’une grande exploitation seront insuffisantes pour nourrir le bétail : il faudra donc faire venir des aliments dans l’exploitation, multiplier les transports, ce qui polluera l’environnement.

Comment manger des protéines animales tout en mangeant sain et éthique?

Pour manger sain et éthique, il faut limiter les protéines animales, limiter la viande à 2 fois par semaine.

Conclusion : il ne faut pas bannir les protéines animales de notre alimentation mais seulement les limiter et être un consommateur engagé !

Sources : Thibaud Benaud, membre de l’association « La Dépaysante », et Sophie Ville, salariée du magasin « Les Récoltes locales » à Naves, Manger vivant

Article écrit par Benoît, Rémi, Enzo

Premiers pas pour construire sa maison écologique

Nous allons vous présenter la maison du futur : une éco-construction intégrée dans l’environnement, constituée de matériaux venant de la nature. Grâce aux conseils de Mme Catherine Deschamps, une architecte-conseillère au CAUE Corrèze ( Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement), nous vous offrons un petit guide de conseils pour créer une éco-construction.

Dessin : © Sara Sbalchiero

Pour créer une éco-construction, il faut remplir plusieurs critères :

– bien choisir le terrain : être près des commerces, des lieux de travail, des voies d’accès ( autoroute, train…) pour limiter les déplacements.

– Bien choisir les matériaux : des matériaux locaux et naturels comme la terre cuite, la paille, le bois… ; des matériaux lourds pour le toit et les murs ; des matériaux souples pour la régulation thermique ( chaux naturelle, torchis,…)

– Garder des éléments naturels, comme les arbres, pour protéger la maison contre le vent et le soleil l’été. Il faut aussi privilégier les jardins sans traitement ( pesticides, engrais chimiques,..) et valoriser le compostage des déchets ( épluchures de légumes,…)

– Utiliser, pour les revêtements des sols extérieurs, ceux qui sont naturels et perméables.

– Pour éviter la surchauffe en été,  garder la maison le plus à l’ombre possible en plantant des arbres feuillus, des plantes grimpantes ou en installant des stores naturels afin de préserver la fraîcheur. En hiver, capter et stocker l’énergie solaire et utiliser des matériaux qui gardent la chaleur

– Veiller  à la disposition des pièces :
– au sud : les pièces à vivre ( salon, salle à manger, terrasse,..)
– au nord : des espaces tampon ( garage, placard, cellier)
– à l’est : les chambres et verandas
– à l’ouest : les terrasses couvertes

– Réguler, avec des toitures végétales,  l’évacuation des eaux pluviales, qui purifient l’air, isolent la maison et demandent peu d’entretien. De plus, elles permettent à la maison de se confondre dans le paysage.

Par Sara Sbalchiero et Maeva Maligne.

L’architecture de demain?

Le jeudi 22 mars 2018, à l’occasion de la journée e-reporters 2018, nous avons pu interviewer 3 spécialistes de l’architecture de demain, dont Cédric Bonnot. Nous allons expliquer le fonctionnement de sa maison écologique.

Cédric Bonnot à la conférence. Photo prise par Mme Cardonne, professeur d’Arts Plastiques au Collège d’Objat.

Cédric Bonnot, particulier corrézien engagé dans l’habitat écologique, nous a fait part de son expérience personnelle : la construction de son propre habitat écologique.

Le projet est de construire une maisonnette de 12 m², mesurant 1m80 de hauteur.  La construction a commencé en janvier 2016 et sera terminée en 2020. Tout est calculé en fonction de sa propre taille, de l’espace dont il a besoin, et de manière à éviter au maximum le gaspillage. De plus, elle est biodégradable à 90% car constituée de matériaux naturels.  Selon lui, l’habitat du futur idéal serait autonome et proche de la nature, car construit avec des matériaux trouvés sur place.

Cédric Bonnot conclut en disant que l’habitat sera semblable aux maisons anciennes, telles que les corps de ferme , écologiques et biodégradables.

Nous remercions Cédric Bonnot pour ses réponses données.

Dessin : @ Tahitia Da Silva

Puis nous sommes allées voir des camarades différents pour leur demander ce qu’est leur maison du futur :

« Je la vois dans des plantes, dans les arbres, sous un étang, je la vois authentique ». Lou Leblois

« Je pense qu’elle respecterait l’environnement et utiliserait des énergies renouvelables ».  Mathilde Bourdu

« Je pense qu’elle sera design, tout en étant écologique. » Ana martial

« Je voudrais qu’elle soit simple, autonome et  avec beaucoup de végétation. » Marianne Paré

Article écrit par Margot, Eléonore et Tahitia.

Environnement : les matériaux écologiques pour nos maisons de demain .

Nous nous posons tous cette question : avec quels matériaux est faite la maison de demain ? Aujourd’hui, nous allons vous expliquer quels matériaux pourraient être utilisés pour la maison du futur.

Dessin : © Quentin Migot

Les matériaux écologiques feraient partie des meilleurs choix,car ils sont  dépourvus de polluants, qu’ils sont recyclables, renouvelables, durables et produits localement . Les matériaux isolants sains ont aussi des « bienfaits » respiratoires.

Attention à la dangerosité de certains traitements servant à prolonger la durée de vie.

Nous allons vous donner certains matériaux bons pour l’environnement :

  • Les matériaux d’origine végétale : chanvre (plante qui sert d’isolant thermique et phonique), lin, coton, coco, liège, laine de bois, ouate de cellulose* (résultat du recyclage de vieux papiers) ou encore de la paille
  • Les matériaux d’origine animale : laine de mouton, plumes
  • Les matériaux d’origine minérale : chaux de terre, argile expansée ou des roches volcaniques expansées ( isolants thermiques et phoniques qui servent en bâtiment et à l’emballage)

Nous avons aussi interviewé Catherine Deschamps,  architecte-conseillère au CAUE ( Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement).

Catherine Deschamps pense qu’il faut utiliser des matériaux naturels car bons pour la santé, et limiter les matériaux traités et industriels . En sachant que la maison du futur doit être « autonome » et doit coûter moins cher en fonctionnement. L’esthétique ne change pas forcément entre maison du passé et maison du futur.

Sources :

Le petit guide de l’éco-construction publié par le CAUE de la Corrèze

Wikipedia

Article écrit par : Quentin Migot, Tom Micheleau, et Quentin Ravel.

La maison de demain… à quoi ressemblera-t-elle?

Nous sommes le 22 mars 2018. Dans le cadre de la journée e-reporters, nous avons interrogé Cédric Bonnot qui a construit une maison écologique, ainsi que Thomas Maury, technicien service habitat CD19. Nous allons vous présenter leur vision de l’habitat du futur.

Thomas Maury, technicien service habitat CD19
Photographe : Mathilde.B

En effet, Cédric Bonnot et Thomas Maury ont la même vision de la maison du futur. Tous deux voient une maison écologique, c’est-à-dire une maison totalement biodégradable qui utilise des énergies renouvelables.

  • La maison est fabriquée avec des matériaux biodégradables. Par exemple, pour la construction d’une maison, nous pouvons refuser d’utiliser du Douglas, ce sapin qui pousse en 3 ans et qui utilise énormément de pesticides. Or, une parcelle de Douglas sera polluée pendant au moins 15 ans.

 

  • La maison sera végétalisée avec des végétaux comestibles. Elle utilisera sa propre énergie et sera adaptée aux personnes handicapées et aux personnes âgées pour qu’elles puissent y vivre le plus longtemps possible. Elle sera faite de matériaux sains et naturels. Par exemple, mieux vaut utiliser des fenêtres en bois, plutôt que des fenêtres en PVC, pour une maison qui consomme le moins possible et qui utilise le plus d’énergie renouvelable, comme l’énergie hydraulique qui est très présente en Corrèze.

 

Pour conclure, l’habitat du futur sera semblable aux maisons anciennes, comme les corps de ferme, puisque les Anciens respectaient notre environnement.

Et vous comment voyez-vous la maison du futur ?

Nous remercions Cédric Bonnot et Thomas Maury pour leurs réponses à nos questions.

Valentin et Mathilde

 

Environnement : moi, que dois-je faire ?

Nous sommes le jeudi 23 mars 2017, en France, plus précisément en Corrèze, à Tulle, pour l’opération départementale e-reporter, à l’occasion de la Semaine de la Presse et des Médias dans l’école.

Dessin de presse réalisé par Marie Tindilière

Nous assistons à une conférence sur l’environnement, la question posée étant : qu’est-ce que MOI je peux faire?

Il y a environ un an, des éco-délégués du collège Georges Cabanis et leur professeur de S.V.T., M. Paré, ont décidé de créer un espace de verdure à la place d’1 hectare de goudron qui sépare le collège et le lycée. Les éco-délégués sont des élèves qui sont chargés de faire entrer la nature au collège.

Ils ont donc entrepris le projet en mars 2016 avec plusieurs élèves volontaires et des élèves de BTS du lycée agricole de Murat. Ces élèves ont donc commencé à faire des schémas de « l’îlot nature », comme ils l’ont appelé. Un goudron d’environ 2m de profondeur a été retiré, le 31 janvier 2017.

Ensuite, a été construit l’ îlot avec des palettes de récupération qui se trouvaient dans une entreprise à environ 500 mètres de Cabanis.

Puis ils ont dû choisir les plantes qu’ils pouvaient mettre dans l’îlot nature pour plus de verdure. Ils ont sélectionné des plantes qui ont chacune une fonction, comme par exemple le sureau qui sert pour faire de la musique, de la limonade ou pour attirer les pucerons et les coccinelles…

Il ne manque plus que le printemps, un peu de soleil et de chaleur pour laisser la place à un magnifique îlot nature.

Finalement il n’est pas si dur d’introduire la nature dans notre environnement.

  Article rédigé par Marie, Anouchka et Sarah

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