Que faire pour protéger la planète ?

L’écologie, une bonne chose pour l’environnement et l’Homme !

Aujourd’hui, jeudi 23 mars 2017, nous assistons à l’opération départementale de e-reporter, à Tulle.

Au collège Cabanis de Brive la Gaillarde, sous la direction d’un professeur de SVT, Thomas Paré, a commencé, en mars 2016, un projet nature qui consiste à ajouter de la verdure dans la cour de récréation, car il y a trop de goudron et pas assez de nature. Ce sont les élèves qui ont demandé de mettre des plantes, des fruits et des fleurs un peu partout. Les élèves ont travaillé avec des étudiants en BTS, des paysagistes, des pépiniéristes, enfin des architectes.

Dessin
par Glorine Belin La planète, bulle à protéger!

J’ai demandé à Thomas Paré, ce que l’on pouvait faire pour améliorer notre mode de vie en utilisant moins ou pas de produits chimiques au quotidien. Il a répondu que l’on pouvait par exemple gaspiller moins d’énergie en faisant des gestes simples pour réduire notre consommation, et pour aussi faire des économies. Réduire l’électricité, le fioul ou le bois que nous utilisons pour nous chauffer.

Pour avoir la motivation de devenir écologique, il faut avoir connaissance de la gravité du danger sur la planète. Devenir acteur du quotidien et par exemple consommateur bio, ce qui ne coûte pas plus cher. Nous pouvons inciter et sensibiliser les jeunes enfants, adolescents mais aussi les adultes. Aller chercher ses produits chez un agriculteur et non au supermarché. Réduire la consommation de cosmétiques qui sont en plus dangereux pour la nature et pour l’Homme. Manger moins de viande et de poisson pour protéger les animaux et éviter les méthodes d’abattage irrespectueuses.

Devenons tous écologistes pour éviter le réchauffement climatique et respecter la planète!

 

Article rédigé par Glorine BELIN, 4°C

 

L’accueil des migrants en Corrèze

40 migrants ont été accueillis en Corrèze dans la nuit du 26 au 27 octobre 2016.

source : La Montagne

Ils ont été hébergés à Voutezac , près de Brive, et à Saint-Priest-de-Gimel , à côté de Tulle, dans des centres d’accueil, d’après l’article lu dans La Montagne.

Le bâtiment de Voutezac dispose à l’étage de plusieurs chambres équipées de lits superposés. Au rez-de-chaussée, la grande salle de repas est, quant à elle, scindée en deux pour ménager d’un côté un coin restauration et de l’autre un espace salon. Enfin, le petit bâtiment situé en bordure du plan d’eau sert à accueillir les cours de français et les diverses animations d’après La Montagne.

Les douze migrants restants de Voutezac seront relogés à partir du 29 mars à Allassac dans des appartements loués à la commune par l’État, selon  La Montagne.

Ces migrants  soudanais, pakistanais et afghans ont fui leur pays et la guerre. Ils ont traversé une dure épreuve.

Article rédigé par Charlotte, Soledad, Elisa

Quand les pesticides prennent trop de place dans nos fruits !

En Corrèze, certains pomiculteurs adoptent un comportement éco-responsable !

Voici des pommes qui viennent du Limousin. Source : Wikipedia

Mais qu’est-ce que c’est éco-responsable ?

Les pomiculteurs ne veulent plus utiliser d’insecticides : ce serait trop dangereux pour les gens et la nature, disent-ils. Un pesticide est une substance chimique utilisée pour lutter contre des organismes dits nuisibles. C’est un produit qui élimine les insectes, les mauvaises herbes, les champignons parasites. L’ONG Greenpeace a publié en juin 2015 un rapport dénonçant les pesticides utilisés pour la pomme. Désormais, certains cultivateurs de pommes veulent être  éco-responsables, c’est-à-dire utiliser des techniques bio de mûrissement et de contre-attaque contre les insectes.

Pierre Borie, pomiculteur bio, propose des solutions et explique : « On utilise la confusion sexuelle. Cela consiste à diffuser l’odeur de la femelle papillon sur l’ensemble du verger pour que le mâle soit désorienté et ne la trouve pas ». Ce que Pierre Borie fait est éco-responsable. Tous les vergers éco-responsables sont ouverts à la visite certains week-ends dans l’année pour sensibiliser la population. À Allassac, une mobilisation a été organisée contre les pesticides.

Dans le Limousin, 85 médecins lancent l’alerte contre les pesticides utilisés pour les pommes et autres fruits. Ils demandent une réduction de pesticides d’au moins 50% d’ici 2020.

Sources de mon article :  La Montagne / Le Figaro / France3

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