La star du paralympique

A 35 ans, Mandy  François-Elie est devenue une star des jeux paralympiques d’athlétisme. Elle est devenue championne du 100, 200 et 400 mètres.

Triple médaillée Mandy François-Elie est une star de l’ équipe de France de parathlétisme .  « C’est encore dur pour moi  au présent », confie – t-elle sous les travées du stade Charléty à  Paris. Victime d’un accident cardio – vasculaire à seulement 18 ans, Mandy  François-Elie est passée très proche de la mort, étant plongée pendant trois semaines dans le coma. A son réveil, elle est hémiplégique partiellement paralysée des membres de son coté droit. Mandy François-Elie va gravir les échelons et devenir championne aux jeux paralympiques sur 100m , dans la catégorie T 37 , grâce  à son amour du sport. A l’occasion des championnats du monde de parathlétisme à Paris en juillet dernier.

Mandy Francois-ElieJeux Paralympiques : Mandy François-Elie apporte une 3e médaille à la ...

Tisser des liens entre les espèces

Le lundi 15 janvier , nous avons rencontré Mme Gabet, éducatrice environnement au CPIE (centre permanent d`initiative pour l`environnement) de la Corrèze. Elle nous a sensibilisés  sur les espèces animales, la nature et les écosystèmes.

Voici quelque questions  que nous avons posées :

Calan , « journaliste en herbe » :Est-ce que les catastrophes naturelles comme l’éruption en Islande sont liées au réchauffement climatique ?

Mme Gabet  : On a réalisé des activités  dans le but de nous apprendre ce qu’est un réseau

alimentaire. Voici l’une d’entre elles, que j’ai illustrée :

LE JEU DE LA FICELLE :

Nous avons aussi joué à un jeu : le jeu de la ficelle! Ce jeu nous a permis d’en connaitre plus sur les chaines alimentaires .

Mme Gabet

 

 

Journaliste passeur d’histoires

Le  lundi 5 février 2024 nous avons reçu au collège  Mr Greghi qui est rédacteur en chef du journal la Vie  Corrézienne pour qu’il nous transmette ses connaissances sur le métier de journaliste et nous explique son parcours.

Visite de Mr Greghi le 5 février

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mr Gréghi  nous raconte d’abord son parcours. Il était passionné par ce métier « J‘ai toujours voulu faire du journalisme « . Il a passé un bac G3, fait des études dans le droit et avait la vocation. Il a commencé par travailler au journal « La montagne » puis il est allé travailler au journal « La Vie Corrézienne ». Il a gravi les échelons pour enfin finir rédacteur en chef de la Vie Corrézienne. Penchons nous sur la petite histoire de ce journal. La Vie Corrézienne a été fondée en 1944 à la libération, par des résistants, amis d’Edmond Michelet. Avant l’ancêtre de ce journal était la Croix de la Corrèze, un journal  chrétien et démocrate. Aujourd’hui la Vie Corrézienne compte environ 6 000 abonnés dont approximativement 900 personnes à l’étranger et son public s’est élargi. Ensuite, nous lui avons posé quelque questions.

  • Comment vérifiez-vous si les information sont vraies ?
  • Réponse de monsieur Gréghi: je vais prendre l’exemple d’un projet de déviation de la commune de Varetz. Certains seraient « contre ». On va se déplacer pour voir. On donne la parole à tout le monde. On va croiser les sources pour vérifier. On va éclairer le lecteur : il y a ceux qui pensent ça et ceux qui pensent ça. On le laisse choisir.
  • Avec les fake- news, c’est un vrai problème de ne pas se laisser polluer. Maintenant tout le monde peut avoir une âme de journaliste et étaler des « informations » devant tout le monde, avoir 2 100 abonnés sur Facebook.  Avec l’IA aussi, on peut faire tout et n’importe quoi. D’où l’importance de garder contact avec une information sérieuse et vérifiée grâce à la presse. Si un journaliste dit des bêtises, il est responsable.
  • Êtes-vous parfois stressé ?
  • Non, jamais vraiment. Un journal, c’est le mythe de Sisyphe : quand on termine un article, on en recommence un autre, c’est le métier ! Mais ce qui m’énerve le plus, c’est la désinformation. Ou ceux qui jugent le journal sans l’avoir lu. Avant, certains pensaient que c’était très « chrétien ». Les communistes ne le lisaient pas. En fait, nous sommes un journal humaniste. Il y a du respect chez nous, pas d’articles à charge.
  • Comment choisissez-vous un sujet ?
  • Il y a, à la rédaction, deux secrétaires de rédaction et deux commerciaux, car on vit aussi de la publicité. Et il y a aussi trois journalistes de terrain. Le choix se fait collectivement. S’il le faut, c’est moi qui, finalement, décide. Mais chaque journaliste amène ses idées. Cette semaine, on a décidé de faire un dossier « manger local ».
  • Quel est votre lectorat ?
  • Ce ne sont pas les plus jeunes qui nous lisent. Ils ne lisent pas la presse locale. Le lectorat va de 35 ans à …On parle de la vie dans les communes. Ceux qui y habitent sont intéressés.
  • Merci à vous.

 

Notre coup de coeur écolo

Nos Unes de décembre

Depuis le mois d’octobre  de nombreux événements ont eu lieu ici et ailleurs. Nous vous en présentons quelques uns à travers les Unes .

  

 

Suivons nos rêves

A l’occasion de la journée E-reporters nous avons réfléchi sur comment se nourrir tout en préservant notre environnement.Nous avons rencontré Enora Mahé, traîteur évènementiel  qui nous a décrit son parcours.

Depuis qu’elle est enfant, elle veut cuisiner. Mais elle devra attendre pour réaliser son rêve : ses parents considèrent qu’elle « trop bonne à l’école  pour faire un CAP ». Elle ira donc au lycée général.Ce n’est que bien des années plus tard qu’elle décide de se lancer dans une reconversion professionnelle dans la cuisine. Le CAP en poche elle crée sa propre entreprise.  Elle se définit elle-même comme un traîteur-éthique. En effet, elle privilégie les circuits courts pour son approvisionnement, souhaitant travailler avec les producteurs locaux. Elle a aussi le souci de limiter les déchets.

https://www.lamontagne.fr/salon-la-tour

Vous aussi, les métiers de la cuisine vous intéressent ?

Sources des images

https://fr.ulule.com/umami-traiteur/

Twitter pour le portrait d’Enora Mahé

 

Un journaliste de terrain parmi nous

A l’occasion de la semaine de la presse et des médias,  les élèves de Sixième de l’atelier journal  ont eu le grand plaisir de rencontrer  Pierre Gauthier, journaliste à France 3, qui est venu partager son expérience sur  son métier de journaliste et  son plaisir à l’exercer.

Exerçant  le métier de journaliste depuis 20 ans, d’abord à Eurosport, puis au journal Sud-Ouest,  Pierre Gauthier travaille à France 3 Pays de Corrèze depuis de nombreuses  années.  Plutôt tourné vers les actualités  sportives  par  goût personnel, il touche néanmoins à d’autres domaines comme la science, la culture, les actualités politiques.

Après la présentation  aux élèves de l’émission des infos de 19 heures qu’il prépare et anime sur France 3 Pays de Corrèze , Pierre Gauthier s’est prêté au jeu des questions réponses des  élèves, désireux d’en savoir un peu plus sur le quotidien de sa profession. Interrogé sur les raisons qui l’ont conduit au journalisme, Pierre Gauthier évoque un projet mûri dès l’enfance et l’attrait pour un quotidien fait de mobilité géographique, de diversité et de rencontres enrichissantes. Les Sixièmes étaient ravis de rencontrer et de partager ce moment d’échange avec lui.

Toute l’équipe de l’atelier journal remercie vivement Monsieur  Pierre Gauthier pour sa gentillesse et sa grande disponibilité.

De nouvelles alimentations, pourquoi ?

Parmi les solutions évoquées par le GIEC le 20 mars pour réduire le réchauffement climatique, les experts mentionnent « une transition vers une alimentation plus végétale » car le réchauffement va s’aggraver. Il faut en effet manger moins de viande car sa production participe à l’effet de serre. Il faut se convertir à une alimentation saine et durable. et réduire bien sûr le gaspillage alimentaire. Au journal télévisé on nous suggère aussi que les insectes peuvent être une source de protéines intéressante. Les insectes vont-ils nous sauver? Vous le saurez en visionnant ce reportage de France 3 !

 

 

                                     Et vous, seriez-vous prêts à manger des insectes ?

La permaculture en quatre questions.

-Qu’est-ce que la permaculture ?

La permaculture consiste à appliquer au potager les principes de la nature,sans produits chimiques.

 -Ou installer son potager ?

Il faut installer son potager dans un endroit humide et ensoleillé, à l’abri du vent. 

-Comment éviter les pesticides ?

Pour éviter les pesticides, il suffit de savoir quelles sont les plantes qui se protègent mutuellement en faisant fuir les nuisibles par leurs odeurs.

-Quels son les trois moyens naturels pour améliorer la culture ?

Le paillage du sol, l’emplacement des plantes en fonction de leur hauteur et la rotation des cultures améliorent la productivité.

Un goût nature avec La dépaysante.

Mathis et Timéo ont discuté avec Nicolas, membre de la Dépaysante.

Mathis et Timéo: Comment vous est venue l’idée d’installer un restaurant- épicerie dans le centre de Tulle ?

Nicolas: Il y a eu une évolution de l’association. On s’occupait d’abord des cantines, des repas dans les fermes et on trouvait cela sympathique. Mais avec le Covid, les marchés ont fermé et notre projet a pris une plus grande ampleur. Il y avait un local à vendre dans le centre de Tulle et avec les collègues cuisiniers, nous avons décidé de faire cela. L’objectif de l’association est de promouvoir et mettre en valeur les produits locaux. Comme il y a un grand local, on y a mis un café associatif, c’est-à-dire un endroit où les gens peuvent venir boire un café s’ils sont adhérents ( pour un prix libre). On a l’intention de créer des événements, on va donner des projections de films, des débats. Le local est tenu bénévolement.

Mathis et Timéo : Comment composez-vous vos menus ?

Il y a plusieurs cuisiniers et chacun organise les menus avec ce qu’il y a dans le magasin et complète en course avec ce qui manque.

Un très beau magasin, avec plein de produits de saison.

La Charte, très bien présentée dans la vitrine de la Dépaysante vous accueille les bras ouverts !

Le meilleur magasin bio, et esthétique en plus …

Des confitures et boissons de saison à déguster et à acheter

Des cuirs de fruits : on a goûté. C’est très bon, pas cher et BIO !

Des fruits bio de qualité +++

Des yaourts délicieux et locaux

Bien se poser, s’installer est très important , vous serez bien reçus.

Un restaurant très grand et bien spacieux pour déguster de bons plats…

  Nicolas nous a également demandé si nous faisions attention à ce que nous mangions, d’un point de vue écologique. Pour nous, oui, c’est évident, il ne faut pas manger les fraises en hiver, par exemple, parce que, sinon, elles n’ont pas mûri naturellement et pour leur déplacement il faut trop de carburant. 

Entretien mené par les E-reporters Mathis et Timéo

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