Je préfère qu’ils me croient mort
Je préfère qu’ils me croient mort d’Ahmed Kalouaz (Le Rouergue, 2011)
Alors qu’il joue au foot avec les copains de son village, Kounandi est repéré par un recruteur qui lui propose de venir en France pour devenir footballeur professionnel. Toute sa famille se sacrifie pour financer le voyage qui lui permettra de quitter l’Afrique et de devenir riche et célèbre. Mais à son arrivée en France, rien ne se passe comme l’avait imaginé Kounandi…
J’ai trouvé ce livre répétitif car Kounandi se retrouve continuellement dans la même situation d’échec. Ce qui m’a plu c’est que ce livre nous apprend comment des centaines d’africains sont rejetés chaque jour en France, il m’a montré la face cachée du foot.
J’ai trouvé ce livre particulièrement bien car l’histoire m’a intéressé : on raconte l’histoire d’un enfant pauvre engagé par un recruteur de foot véreux. Cela nous montre bien comment sont exploités les enfants pauvres. J’aurais aimé que le début soit plus développé pour qu’on voie dans quelles conditions vivent les africains. Je trouve qu’on plongerait mieux dans l’histoire. Certains mots dans le texte sont difficiles à comprendre. Mais sinon dans l’ensemble, ce livre est assez bien. 🙂
J’ai aimé ce livre, il était simple et on plonge assez vite dans l’histoire car on a envie de savoir ce qu’il va arriver aux adolescents qui ont été engagés par un recruteur malhonnête.
Même si c’est un roman noir et que tout est contre eux, on arrive à avoir de l’espoir pour les joueurs.
Ce qui est bien, c’est qu’on apprend des choses sur le côté noir du football et sur les agents qui vendent du rêve aux enfants africains et les laissent se débrouiller seuls.
Il y a du suspens à la fin, on ne sait pas ce qu’il va leur arriver et du coup peut s’inventer la fin que l’on veut. Il peut rejoindre son ami ou rester avec les échoués.
J’ai bien aimé ce livre car il m’a appris des choses sur le sport que je pratique, mais pas que des bonnes, par exemple le transfert de Kounandi qui ne se passe pas comme prévu.
Le récit a bien répondu à mes attentes : l’histoire m’a intéressé, le texte n’est pas trop long, les chapitres assez courts et le vocabulaire assez facile.
J’ai lu ce livre très rapidement car le récit était très captivant et ce livre parle de cette passion que j’aime tant.
Par contre, j’ai trouvé que le récit était un peu répétitif car Kounandi se trouve toujours dans la même situation.
Ce livre nous apprend beaucoup de choses sur le côté obscur du football.
Collège Eugène Jamot
J’ai beaucoup aimé ce livre, je l’ai trouvé captivant et riche en événements, le thème du football me passionne alors la lecture ne pouvait être que plus intéressante.
Les récits étaient courts et la lecture simple, ce qui rendait le livre plaisant.
Parfois l’histoire pouvait être répétitive, Kounandi se mettait dans des situations difficiles à vivre et parvenait à les surmonter avec plus ou moins de mal.
Le titre du livre correspond bien à la pensée du héros.
L’aventure de Kounandi débute plein d’espoir, mais au fil du temps les problèmes s’accumulent et son rêve s’anéantit.
Kounandi déçu et honteux préférerait que sa famille et ses amis le croient mort plutôt que de connaître son triste parcours.
Ce livre m’a montré les faces cachées du football.
Seulement une infime partie des joueurs sélectionnés peut rejoindre une équipe célèbre et les autres sont abandonnés dans les rues sans espoir de retrouver leur famille.
Je trouve intéressant ce que montre et dénonce ce roman.
Les personnages, au début, voient la France comme le pays de la réussite et de la belle vie. On monte la tête à des jeunes naïfs, en leur vendant du rêve et une belle carrière de footballeur.
Cette histoire montre aussi le courage de ces jeunes, prêts à tout, qui ne lâchent rien même en situation de détresse, elle montre aussi le côté sombre de football.
Je n’ai pas trop aimé le livre car Kounandi échoue à chaque fois avec ses coéquipiers et il ne gagne jamais de match. J’ai trouvé ce livre ennuyeux car c’était très lent et pauvre en action.
Nous n’avons pas le même avis au sujet de ce livre. Certains disent qu’ils ne l’ont pas aimé à cause du thème du foot. D’autres pensent que le foot n’est que l’arrière plan et que l’histoire présente un intérêt à elle seule. Nous le trouvons réaliste, mais nous nous sommes ennuyés à certains moments car l’histoire devenait répétitive et prévisible. Nous avons été émus par la tristesse de la situation de ces jeunes gens. Nous avons été impressionnés par le personnage de Kounandi, que nous avons trouvé attachant, et persévérant. Il ne se dégonfle pas, ne lâche rien malgré son jeune âge et sa solitude. Il est arraché à son pays, sa famille et se retrouve seul dans l’inconnu. Les adultes sont présentés comme des menteurs, préoccupés seulement par l’argent et se désintéressant des enfants. Parfois ils rencontrent des adultes qui les aident mais qui ne les prennent pas vraiment en charge : l’aide est passive et passagère.
La fin nous a déçus car c’est une fin ouverte ; en conséquence on ne sait pas où il en est et ce qu’il deviendra.
J’ai bien aimé ce livre. Je l’ai trouvé très intéressant car il dévoile les faces cachées du foot : leurs conditions de vie difficiles, les chances infimes de parvenir à leurs rêves ainsi que tous les Africains laissés en Europe qui voient leurs rêves se détruire. Cependant, les événements sont trop prévisibles à mon goût et je n’ai pas aimé la fin ouverte car je voulais savoir ce qui arrivait à Kounandi.
Je trouve que ce livre est une belle leçon de vie. Il nous apprend que c’est bien de croire en nos rêves, mais qu’il est difficile d’y parvenir surtout pour devenir footballeur professionnel.
Je n’ai pas aimé « Je préfère qu’il me croient mort » de Ahmed Kalouaz en 2011. Le livre parle de Kounandi qui rêve d’intégrer un grand club de football, l’histoire va raconter son parcours en France depuis son départ de son pays, le Mali. La raison principale pour laquelle je ne l’ai pas aimé, c’est que le livre parlait de football. Je ne comprenais pas le vocabulaire et je n’aime tout simplement pas l’univers du football. Même si l’histoire est intéressante car elle éclaire sur le monde du football professionnel, je l’ai trouvée trop sombre en voyant la face cachée du foot. Je ne pensais pas que le recrutement dans certains pays se faisait comme ça. Le roman était court mais à la lecture je l’ai trouvé long car il était répétitif au niveau des événements. Je n’ai pas réussi à rentrer dans l’histoire. Pour conclure je ne conseille pas ce livre pour ceux qui n’aiment pas le football.
J’ai bien aimé ce livre car les chapitres étaient courts (2-3 pages), ce qui a rendu ma lecture plus dynamique. Dans chaque chapitre, nous découvrions de nouveaux lieux. L’histoire du livre peut apporter des éclaircissements sur le monde du football, autant dans le recrutement comme la facilité à accéder au monde professionnel. Le monde du football peut influencer la vie d’un joueur de manière positive comme négative à cause de l’influence de l’argent et de la célébrité.
Un livre un peu répétitif mais qui est intéressant car il dénonce des horreurs commises juste pour de l’argent, à abandonner des gens à la rue après leur avoir promis des tas de choses. Donc pas mal, mais pas extraordinaire.
– Ce qui est intéressant, c’est le fait que c’est une histoire vraie. D’ailleurs l’auteur est journaliste.
– Il est peut-être journaliste mais son histoire est trop répétitive !
– Et puis, c’est une belle leçon de vie car le héros fait preuve d’une grande détermination.
– Si c’est ça, la vie, merci ! Et parce que pour être déterminé, oh ça, il l’était !
– Le personnage principal est attachant et touchant, quand même !
– Attachant peut-être, mais trop naïf à mon goût. Pfff !! Si c’est ça le Mali !
– En tout cas, ce livre est important car il dénonce le trafic de talents, et même d’êtres humains dans le monde du football.
– Alors, ça perso, on s’en fiche complètement ! Le foot, c’est la passion, la joie, la vie quoi !
– Le livre est court et efficace, la lecture est facile, on se met bien dans l’histoire.
– Pas du tout ! On dirait un pavé !
– Il y a aussi de la solidarité dans cette histoire : les habitants du village, le contrôleur du train, …
– …