Le visuel de couverture est propriété de l’éditeur.

J’ai aimé ce livre, car premièrement il repose sur un pays en guerre d’indépendance. Par exemple, dans une Algérie encore française où la guerre d’indépendance s’éternise. Deuxièmement, il fait comprendre l’époque dont il parle. Prenons pour exemple, la guerre d’indépendance qui s’éternise. Troisièmement, l’auteur montre que les gens travaillent dur pendant les moissons.

En effet, les gens travaillent plus. Quatrièmement, il y a une complicité entre un garçon français et un garçon algérien. Ainsi tous les matins, les deux garçons allaient au lycée ensemble. Aussi, les deux garçons devaient choisir chacun un camp, le garçon français (Paul) choisit le camps des français et le garçons algériens (Salim) choisit le camp de l’indépendance. Pour finir, quand une famille va au marché il y a toujours un contrôle d’identité. Par exemple, fouiller cette famille.

Ce roman est tragique car des gens ont mis le feu à un village et à des champs qui sont autour et les policiers n’ont rien fait pour arrêter le feu. Il y a eu aussi un attentat qui a eu lieu la nuit. Ce livre n’est pas drôle ni humoristique car sa parle toujours de la guerre. Il y a aussi une famille algérienne qui travaille pour une famille française et à la fin les deux familles se font la guerre. A la fin, Salim finit par accepter l’aide du F.N.L et Paul part en vacance avec sa mère. Salim dit « L’Algérie est notre pays, bientôt nous serons libres ». Ce livre repose aussi sur deux enfants qui ont été élevés ensemble. A la fin,  Salim qui travaillera et Paul  ira au lycée. Salim et Paul vont suivre chacun leur chemin. Les deux adolescents sont pris dans la tourmente de l’histoire, de leur histoire.