Devenir vétérinaire et exercer ce métier, voilà notre questionnement qui peut intéresser beaucoup d’entre vous ! Nous sommes allés à la clinique vétérinaire d’Objat, où nous avons interrogé Gaëlle Dufaure-Breteau qui a été diplômée de l’école vétérinaire de Toulouse en 2009 : elle pratique la chirurgie et la médecine de toutes sortes d’animaux.
Le cabinet est composé de 7 vétérinaires et 4 assistantes, sans oublier Charly, la mascotte du cabinet, qui est arrivé sur un malentendu et qui aujourd’hui accueille les clients !
Voici Charly la mascotte de la clinique Vétérinaire d’Objat. Dessin de Maxine.
Maël, Maxine et Laurine pour Eugène.com : Bonjour, quelle est votre vie quotidienne en tant que vétérinaire ?
Mme Dufaure-Breteau : « Nous pratiquons la médecine et la chirurgie sur toutes sortes d’animaux, les plus courants sont les chiens et les chats. »
Maël, Maxine et Laurine pour Eugène.com : Quels sont vos horaires ?
Mme Dufaure-Breteau : »Je commence à 8 h 30 jusqu’à 12h30 puis de 14 à 19 h, et nous avons des horaires d’alternance de 19 h à 8 h du matin. »
Maël, Maxine et Laurine pour Eugène.com : Quelle est la difficulté d’être vétérinaire ?
Mme Dufaure-Breteau : »Une des difficultés, c’est qu’il y a beaucoup d’animaux différents et donc de différents gabarits : il faut donc réfléchir différemment aux symptômes de chaque animal. »
Maël, Maxine et Laurine pour Eugène.com :Quel est votre parcours étudiant ?
Mme Dufaure-Breteau :« J’ai fait un BAC scientifique, une classe préparatoire de 2 ans et 5 ans en école vétérinaire donc 7 ans en tout. »
Maël, Maxine et Laurine pour Eugène.com :Quels sont vos souvenirs marquants ?
Mme Dufaure-Breteau : »Mon souvenir le plus marquant a été un poulinage, qui est la naissance d’un poulain. Ce souvenir est marquant car je n’avais pas l’habitude de faire ce genre d’intervention et que la naissance s’est très bien passée. »
Maël, Maxine et Laurine pour Eugène.com : D’après votre expérience, que changeriez vous dans vos méthodes de pratique ?
Mme Dufaure-Breteau :« Nous ne sommes pas encore très écologiques car nous utilisons beaucoup d’usage unique donc j’aimerais que nos méthodes soient plus durables. »
interview de Maxine, Maël et Laurine
