Dans le cadre des commémorations en l’honneur des victimes des attentats, de nombreuses manifestations ont été mises en place sur le territoire. Des millions de gens se sont recueillis dimanche 13 novembre 2016 à Paris et un peu partout en France pour honorer la mémoire des victimes .
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A travers eux, c’est aussi un hommage à tous les innocents que le terrorisme a frappé : les journalistes de Charlie Hebdo et leurs amis, les promeneurs du 14 juillet à Nice, et les victimes partout dans le monde.
En Corrèze certaines municipalités (Brive, Tulle, Ussel, Saint-Pantaléon) ont organisé une minute de silence. A Brive, c’est devant l’Hôtel de Ville que les brivistes ont put manifester leur soutien aux victimes lundi 14 novembre à midi.
Malgré les différentes mesures prise par le gouvernement la peur du terrorisme est toujours présente dans notre vie quotidienne.
Quels moyens sont mis en place pour prévenir le risque d’attentat en France ?
L’ État d’Urgence est prolongé en France jusqu’en juillet 2017. C’est une situation spéciale, ou une période pendant laquelle les pouvoirs du Gouvernement et des policiers sont plus importants que d’habitude. Ce ne sont pas les mêmes règles de vie qui s’appliquent dans le pays. L’Etat d’Urgence est activé quand le Gouvernement pense que la France est en danger.
Le plan Vigipirate a été mis en place par le gouvernement dès le lendemain des attentats de Charlie Hebdo. Cette mesure consiste à renforcer la sécurité aux abords des lieux publics les rues, les gares, les lieux de spectacles, les établissements scolaire …
Qu’est ce qu’est différent dans notre quotidien ?
La sécurité a été renforcée pour protéger les gens et éviter de nouveaux attentats, ça se voit par exemple dans les écoles puisqu’un adulte doit obligatoirement être à l’entrée pour accueillir les élèves et empêcher que des inconnus entrent.
Les cartables peuvent être vérifiés pour être sûr qu’il n’y a pas d’objet dangereux dedans.
Lors de la foire du livre nous avons pu remarquer les renforcements de policiers et de militaires.
L’éducation nationale, quant à elle, a mis en place dès la rentrée un exercice « une alerte attentats », comme une alerte incendie ou une alerte confinement. signalée par une corne de brume, cet exercice a été effectué dans les établissements scolaires de la maternelle jusqu’au secondaire dés la rentrée scolaire.
Comment réagir en cas d’alerte attentat ?
Vous avez 3 solutions :
http://www.seine-maritime.gouv.fr
- vous échapper : localiser le danger pour s’en éloigner, aider les autres personnes à s’échapper, ne pas vous exposer au danger et alerter les personnes autour de vous pour les dissuader d’aller vers la zone de danger.
- vous cacher :
1 Enfermez-vous et barricadez-vous
2. éteignez la lumière et coupez le son des appareils
3 Eloignez-vous des ouvertures et allongez-vous au sol
4. SINON, abritez-vous derrière un obstacle solide
5. Dans tous les cas, coupez la sonnerie et le vibreur de votre téléphone
C’est deux premières solutions sont applicables seulement si c’est possible.
- alerter et obéir aux forces de l’ordre : Dès que vous êtes en sécurité appelez le 17 ou le 112, ne pas courir vers les forces de l’ordre et ne pas faire de gestes brusques, enfin, gardez les mains levées et ouvertes
Vous pouvez consulter la vidéo :http://www.gouvernement.fr/reagir-attaque-terroriste
Valentine Simon