Paris 2119

(sélection 2019 – 2020)

 

Paris 2119

de Dominique Bertail (Dessin), Zep (Scenario)

Album: 84 pages

Editeur : Rue de Sèvres (23 janvier 2019)

ISBN : 978-2369812159

Prix : 17,00 €

Présentation de l’éditeur

Paris, nous sommes en 2119, l’ambiance est futuriste mais quelques éléments du XXIème siècle perdurent. Le métro existe encore mais la plupart des personnes préfèrent se téléporter via la cabine « Transcore ». Tout un chacun est systématiquement scanné et reconnu dans les espaces publics et privés. Les clones, les drones et les hologrammes sont monnaie courante. Tristan Keys vit dans ce monde dont il rejette le plus possible la numérisation. Tel un marginal, il continue à prendre le métro, à marcher dans les rues, à l’inverse, sa compagne Kloé est une adepte des déplacements inter-continents via le Transcore. Au cours de ses déplacements à pieds, il constate assez vite des comportements préoccupants, des situations anormales. Que se passe-t-il vraiment dans ce Transcore ? Est-ce une simple téléportation pour ses utilisateurs ?

Les auteurs

Zep est né en Suisse en 1967. Il s’inscrit aux Arts Déco de Genève d’où il sortira diplômé. Il publie dans la presse « Victor » puis est remarqué par « le journal de Spirou ». Après quelques albums, en 1992, il donne naissance à « Titeuf » par hasard, sur un carnet de croquis, alors qu’il dessine des souvenirs d’enfance. La première planche est publiée dans un fanzine et, à sa lecture, Jean-Claude Camano des Editions Glénat lui propose de l’éditer. C’est le début de la grande aventure de Titeuf. Le succès est croissant et devient rapidement un véritable phénomène du monde de l’édition. Plus de 12 millions d’albums de « Titeuf » ont été vendus, et il est traduit dans plus de 20 pays dont la Chine. En mai 2000, Titeuf fait son apparition dans les romans de la Bibliothèque Rose chez Hachette Jeunesse. En 2001, paraît « Le Guide du zizi sexuel » co-écrit avec Hélène Bruller. Tous deux écrivent « Les Minijusticiers » chez Hachette Jeunesse en 2003. Zep a également illustré la même année un livret pédagogique pour Handicap International et réalisé un carnet de 68 pages pour l’album « Chansons pour les pieds » de Jean-Jacques Goldman. Zep a récemment collaboré à « Sol En Si » en réalisant la pochette et les illustrations du livret du disque « Sol En Cirque ». En janvier 2004, il reçoit le Grand Prix de la Ville d’Angoulême le récompensant pour l’ensemble de sa carrière. Il a été le Président du Festival d’Angoulême 2005. (Texte © Glénat)

Dominique Bertail est né en 1972 à Tours. Il apprend à parler avec Lucky Luke,à lire avec Tintin puis à dessiner avec Blueberry. Enthousiasmé par la lecture des albums de Baudoin, d’Otomo, de Sienkiewicz et des Cahiers de la BD, il s’inscrit aux Beaux-Arts d’ Angoulème où il rencontre Thierry Smolderen (avec qui il signe l’ Enfer des Pelgram chez Delcourt, en 1998 et 2000 ), Josepe et Pat Cab (avec qui il collabore quatre ans durant sur le site coconino-world.com ), Alain Beaulet (chez qui il publie L’Homme tableau – en 2000 – et L’Homme nuit – en 2002 ), Marc Riou et Mark Vigouroux, qui lui apprennent à aimer Corben… Partageant son temps entre illustration (Bayard, Fluide Glacial, Casterman) et story-board (pour la pub et le cinema ), il signe en collaboration avec Matz une nouvelle série aux éditions Delcourt : Shandy. (Texte © Delcourt)

19 Commentaires

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    • Antonin L sur 3 février 2020 à 15 h 52 min

    Pour commencer le thème du livre m’a intrigué, de plus il évoque notre avenir, à nous la nouvelle génération. Ce qui m’a plu est surtout le sujet, les exagérations sur la téléportation. L’auteur veut nous faire prendre conscience que si on continue notre avancée technologique, on arriverait à perdre le contact humain, à se réfugier sur les écrans, à se cloîtrer chez soi, à ne plus sortir dehors pour prendre l’air et jouer avec ses copains. L’auteur utilise l’exemple des métros, où il dit qu’en 2119 personne ne le prendrait, tout le monde serait téléporté. Ensuite les couleurs qu’il utilise m’ont attiré l’œil, elles sont différentes des autres auteurs, cet auteur utilise des nuances sombres comme le gris, le noir, le bleu foncé. Je pense qu’il utilise des couleurs sombres pour montrer comment la Terre serait et aussi la mentalité des personnes si on continuait ainsi, c’est-à-dire pas belle. De plus la qualité du dessin est très bonne, les traits sont fins, distincts, on reconnaît facilement les personnages et puis ils ressemblent à des humains.

    • Vincent J. sur 3 février 2020 à 16 h 55 min

    Cette BD est très agréable à lire . Dans cette BD, les gens se déplacent à l’aide de Transcore, c’est une sorte de machine à téléportation sauf que tout au long de l’histoire, Tristan, le personnage principal, refuse d’utiliser le Tanscore et découvre que les personnes qui en sortent, sont des clones des vraies personnes .
    Dans cette BD, les couleurs sont assez sombres, ce qui nous met dans une ambiance de meurtre.
    L’arrière-plan nous fait penser à un vieux Paris , il pleut énormément durant presque toute la BD à cause d’un programme de désinfection de l’atmosphère .
    Le personnage principal parle beaucoup tout seul , ce qui nous met à sa place.

    • Corentin B. sur 5 février 2020 à 11 h 50 min

    Dans cette BD, on nous fait découvrir un nouveau Paris qui est futuriste, mais qui malgré ça garde quand même quelques points de  » l’ancien Paris », comme par exemple certaines lignes de métro mais qui passent moins régulièrement qu’avant cet air futuriste qui a envahi Paris, mais qui malgré tout ne ravit pas tous les habitants de Paris. Quand je parle du fait que tout le monde ne soit pas ravi de l’air futuriste, je veux donc surtout parler du personnage principal, Tristan Keys, qui lui n’adhère pas du tout a toute cette technologie qui remplace un peu tout du passé. Par exemple pour continuer sur le métro, Tristan, lui, le prend toujours ou se déplace à pied. Dans cette aire du future, les gens se transportent presque tous dans des cabines de téléportation, ils appellent ça des cabines Transcore. Tout au long de l’histoire, on suit les aventures, même les péripéties que Tristan vit, qui le mènent sur plusieurs pistes et qui l’aident à comprendre que ces fameuses cabines « volent » en quelque sorte la mémoire des gens qui les utilisent, et qui clonent leurs personnes, donc les gens qui s’en servent ne ressortent pas réellement puisque ce sont des clones d’eux-mêmes qui en ressortent. Dans toute cette histoire on peut dire que j’ai réellement bien apprécié le thème, mais ce que j’ai surtout apprécié c’est le fait que ce livre soit réellement « entraînant » dans le sens où on arrive très facilement à se plonger dans les péripéties, et aussi parce que c’est un livre qui est facile à lire.

    • Dorian J. sur 5 février 2020 à 11 h 50 min

    J’ai bien aimé le livre car, dès le début du livre, nous sommes plongés dans une atmosphère plutôt sombre, avec un temps pluvieux dans une ville, Paris, pratiquement désertique.
    L’auteur a mis en avant le système Transcore, un système de téléportation, qui permet de se téléporter partout dans le monde depuis son habitation. Ce système cause un vide total dans la ville car, par conséquent, les gens ne sortent plus de chez eux, ce qui n’est pas le cas de Tristan, le personnage principal, qui lui préfère utiliser les moyens du XXIe siècle c’est-à-dire le métro ou encore ses propres jambes.
    J’ai bien aimé Tristan car c’est lui qui nous montre le vrai côté de Transcore et il nous montre qu’il est seul car plus personne ne vit comme au XXIe siècle ou du moins plus beaucoup.
    L’histoire est comme une sorte de gradation, plus on avance, plus les découvertes deviennent intéressantes sur le système Transcore. Cette histoire m’a paru comme une sorte de morale sur nos avancées technologiques et leurs conséquences.
    Dans le livre les nuances de couleurs sont plus portées sur le bleu et le gris, cela permet de nous mettre dans une atmosphère plutôt triste et monotone. Les dessins sont bien réalisés et ont un côté bien réaliste.

    • Eléana O. sur 12 février 2020 à 10 h 50 min

    J’ai aimé cette BD, j’ai eu l’impression qu’elle faisait passer un message comme : les écrans coupent la communication entre les gens, ce qui crée un renfermement sur soi par rapport à la société donc une ambiance inconsciente de solitude. J’ai aimé le personnage de Tristan que je trouvais mystérieux, intelligent et curieux, il ne s’est pas plié à la société et a donc été plus malin, il a aussi cherché à comprendre ce qu’il avait vu et décide même de partir à Londres, à ce moment-là du livre on pourrait aussi croire qu’il y a un autre message caché car après avoir tout découvert il est effacé.
    Autour de lui l’ambiance est triste, voire effrayante en raison de certaines personnes et des pluies constantes tout au long du livre même en présence de Kloé sauf que ce qui est mis en valeur à ces moments c’est plutôt les rares sourires de Tristan.

    • Florian B. sur 12 février 2020 à 11 h 40 min

    Dans cette BD les dessins sont biens faits, avec assez de détails. Les écritures sont bonnes à lire sans trop de difficultés et l’histoire n’est pas répétitive.
    Cette histoire est passionnante car elle « projette » dans le futur tout en restant dans le présent. C’est-à-dire qu’elle nous montre qu’il ne faut pas faire entièrement confiance aux objets connectés et ne pas accepter tout ce que l’on nous vend et que l’on ne fait pas attention à ce qu’on achète ou ce que l’on fait sur internet. C’est comme un message préventif aux conséquences d’internet en général.

    • Anaïs K sur 13 février 2020 à 11 h 09 min

    Ce livre m’a tout de suite plu car il évoque un sujet primordial pour nous adolescents que nous sommes : « LE FUTUR », en quelque sorte notre avenir entièrement constitué de nouvelles technologies et du digital.
    Qui sait, c’est peut-être ce qui nous attend !
    En ce qui concerne ce livre, son histoire tourne autour d’un personnage nommé Tristan qui contrairement aux autres est humain et s’oppose aux technologies de son temps, suite à une choquante découverte dans les rues de Paris. C’est un personnage à l’esprit vif qui réussit à semer les personnes qui le traquent .
    Pour finir, je dirais que toutes les couleurs notamment le noir sont utilisées dans les dessins. Ils sont faits en traits fins sans pourtant être portés sur les détails que l’illustrateur a faits. Il utilise une mise en page de 4 à 7 cases plus ou moins grandes tout au long de ce livre.

    • Lucie F sur 17 février 2020 à 13 h 34 min

    L’histoire de la BD « Paris 2119 » ressemble à un thriller où il y a beaucoup de rebondissements. Le scénario nous laisse imaginer un autre monde proche et lointain de notre époque. Ce livre tient en haleine et a une intrigue accrocheuse. J’ai trouvé les personnages sans originalité. Tristan est le personnage principal. C’est un héros rebelle qui nous emporte dans ses décisions avec peu de surprises. Les images sont sombres. Les visages ont des traits durs. Je m’attendais à une fin plus animée et joyeuse avec une réponse à l’histoire. Pour moi, il y a une conclusion trop rapide qui nous laisse sur notre faim.

    • Axel R. sur 17 février 2020 à 15 h 42 min

    Pour commencer j’ai bien aimé cette BD, j’ai apprécié sa qualité graphique et d’écriture. Cette Bande dessinée nous envoie dans le futur mais dans un temps que les hommes d’aujourd’hui souhaitent atteindre, ce qui nous rapproche un peu du temps évoqué dans cette BD, du moins c’est l’impression que j’ai eue. Dans l’histoire, le personnage principal vit dans une nostalgie rapportée aux appareils technologiques d’aujourd’hui, pendant que toute la société avance de plus en plus dans la nouvelle technologie, lui la repousse et préfère vivre comme bon lui semble avec ce qu’il a. Dans ces nouvelles technologies on peut retrouver les robots policiers ainsi que le Transcore qui est un téléporteur permettant d’aller où l’on veut sauf que le mystère caché derrière cette technologie est bien plus sombre et c’est ce que le livre nous amène à voir. Je pense que cette BD est faite dans le but de nous questionner sur les nouvelles technologies qui nous attendent afin de ne pas tomber dans l’irréel.

    • Timothée C. sur 17 février 2020 à 16 h 55 min

    Pour commencer j’ai bien aimé ce livre car les dessins sont bien faits et l’histoire est compréhensible.
    L’histoire du Transcore est bien réelle car depuis qu’on peut marcher, on essaye toujours d’aller plus vite et plus loin.
    Avec l’avancée de la technologie, le personnage principal préfère rester dans un ancien temps en prenant le métro plutôt que de pouvoir se téléporter, ça montre qu’il faut se méfier des technologies que nous contrôlons et qui pourraient détruire nos vies ou la nature. La façon dont ses ennemis détruisent sa vie, en l’effaçant de la mémoire des personnes autour de lui, fait penser que pour détruire quelqu’un il faut juste effacer toute information sur la personne et donc elle n’existera plus. Ce livre est une grande critique de la société actuelle.

    • Xavier.V sur 19 février 2020 à 10 h 39 min

    J’ai bien aimé lire ce livre car ce livre d’anticipation car il nous projette dans un avenir possible, pour la prochaine génération avec certaines avancées techniques comme la machine pour se téléporter (le Transcore, nom donner dans le livre). Ce livre nous montre certains risques que ces nouvelles technologies nous amènent. Paris 2119 nous montre le combat d’un homme seul, qui souhaite prouver que ces machines de téléportation que tout le monde utilise nuisent à cette société. Le livre nous renvoie par certains références à la ville de Paris comme par exemple sur la couverture avec la tour Eiffel qui nous renvoie au Paris du 19ème ou 20ème siècle.
    Dans ce livre les illustrations sont travaillées, chaque dessin possède des détails. Le coloriste du livre a utilisé des couleur ternes ce qui donne un effet mystérieux, inconnu à l’histoire.

    • Céline R. sur 19 février 2020 à 10 h 55 min

    Très beau livre au dessin très soigné, le scénario nous projette bien dans un autre monde proche et lointain en même temps. On y croit sans problème grâce à de petits détails qui nous raccrochent à notre société et à la réalité. Je trouve que les graphismes sont très réalistes. L’auteur utilise des nuances sombres comme le gris, le noir et le bleu foncé. L’histoire se passe à Paris en l’année 2119, dans un siècle. Dans la ville les gens ne se déplacent plus avec le métro, qui maintenant est comme un moyen de déplacement insalubre, mais avec des Transcore.

    • CharlotteG. sur 19 février 2020 à 11 h 21 min

    J’ai vraiment apprécié lire cette BD, les graphismes sont très bien réussis, les personnages paraissent réels au niveau des proportions physiques et des traits du visage. Le couple de Tristan et Kloé est très intéressant, il montre qu’on peut aimer quelqu’un en ayant des opinions différentes même sur des choses importantes. Ici, ce qui pose problème c’est le Transcore ; Tristan accepte difficilement toute cette modernité et le fait que sa compagne soit très adepte de cette pratique. Il est inquiet car il est l’un des seuls à se rendre compte que tout cela n’est pas forcément bon pour les humains car ils désertent la vie réelle pour se plonger dans le virtuel qui n’a pas que des points positifs. Le gouvernement se ligue en effaçant la mémoire de ceux qui ne vont pas dans leur sens.
    L’ambiance sombre dans laquelle est plongée Paris au début m’a bien mise dans le contexte mais la fin ne m’a pas plu car je l’ai trouvée trop simple voire même bâclée.

    • Manon.M sur 19 février 2020 à 11 h 38 min

    Je n’ai pas tellement aimé ce livre car il est assez étrange, il faut essayer de bien comprendre l’histoire. L’histoire parle d’un Paris futur où tout n’est que technologie, il reste encore quelques vieilles bouches de métro que le personnage principal continue d’utiliser car il ne veut pas prendre les téléporteurs et il a bien raison parce que dans la suite de l’histoire on apprend que ce ne sont plus les vraies personne qui ressortent de la machine, par la suite on apprend qu’ils tuent les civils et ceux qui sortent de la machine ne sont que des clones.
    Le personnage principal nommé Tristan mène un combat seul contre ces machines « les Transcore », il veut à tout prix montrer qu’elles sont néfastes pour les gens. Il met sa propre vie en danger pour sauver celle de personnes qui ont sûrement déjà pris les Transcore et qui sont déjà clonés et décédés des centaines de fois.
    A la fin je ne pensais pas qu’il allait s’en sortir, je pensais qu’il allait se faire arrêter vu toutes les avancées technologique que montre Paris 2119 mais il s’en sort et retrouve son amour du début de l’histoire.
    Cette histoire que l’écrivain ZEP a imaginé est étrange, sa vision de plus tard est sinistre. Je pense qu’il essaye de faire passer un message à travers sa BD. On dirait qu’il veut nous dire qu’on ne vit plus sans technologie. Le dessinateur Dominique Bertail a fait des dessins très réalistes avec des couleurs sombres pour montrer que la ville va mal, qu’il y a des rues malpropres comme par exemple celle quand on sort du métro.

    • Erwan C. sur 19 février 2020 à 11 h 40 min

    2119 est une histoire plaisante du fait que ce soit de la fiction, pour comprendre cette histoire il faut bien la suivre depuis le début car toutes ces histoires de clonage, de puce dans le corps et de téléportation pourraient nous faire réfléchir sur notre vrai futur. Mis à part cela le style graphique est plaisant à regarder ce qui peut donner envie de continuer cette histoire. Le caractère du héros est attachant car il veut continuer de vivre comme nous on vit en 2019 et dans chaque moment où il en parle on arrive à peu près à se reconnaître ce qui ajoute son petit brin d’humour quand on y réfléchit.

    • Lysian D sur 21 février 2020 à 15 h 15 min

    Cette bande dessinée est d’une très bonne qualité graphique, cependant, les couleurs sont très sombres et je trouve cela ennuyeux sur la durée. Les contrastes sont bien réussis ainsi que les ombres. Les cases sont très grandes et par conséquent nous avons de nombreux détails, comme dit précédemment. Dans l’histoire il y a peu de personnes dont on parle mais ce n’est pas plus mal car cela nous évite de nous perdre. De plus, certains personnages, en particulier Tristan, sont plus fouillés que les autres. Le scénario ne m’a pas plu car je trouve qu’il est ennuyeux, l’histoire ne contient pas assez d’actions pour moi. Cette dernière nous projette dans un futur qui n’est pas très enthousiaste et plutôt ennuyeux, ce qui renforce ma vision sur l’histoire. En conclusion je pense que c’est un livre qui peut plaire à certaines personnes mais pour ma part ce n’est pas le cas, car ce n’est pas mon style de livre. Il reste quand même d’une très bonne qualité.

  1. Nous avons aimé cette BD, Paris 2119, écrite par ZEP et dessinée par Dominique BERTAIL. Elle nous a plu car sa vision de Paris en 2119 nous fait réfléchir pour les années futures.
    Nous avons également apprécié le graphisme de cette bande dessinée car il est très réaliste et son côté sombre nous plonge dans l’histoire.
    Le personnage principal qui s’appelle Tristan Keys est courageux car il souhaite sauver sa ville et sa compagne Kloé. La plupart des personnes préfèrent se téléporter via la cabine « Transcore » plutôt que se déplacer avec le métro. Cette cabine provoque des situations anormales. Tristan croise, à deux reprise, deux femmes mourantes sortant de « Transcore » qui sont aussitôt interpellées par la police. Tristan va découvrir des choses très mystérieuses.
    Sa fin ouverte nous a donné l’envie d’avoir une suite !

    Clara, Angélina, Amandine
    Collège de Bessines

  2. Bonjour, nous allons vous parler de la BD Paris 2119 que nous avons beaucoup aimée, parce que même si c’est une BD de science fiction, elle a un côté réaliste. Elle fait réfléchir sur un nouveau monde et nous apprend des choses sur un futur possible. Dans le livre nous voyons des choses étranges comme le passage où on voit un requin en hologramme. Le livre est captivant et intrigant…
    Le personnage principal, Tristan, est courageux parce qu’il saute de la Tour Eiffel et s’accroche à un drone pour échapper à la société qui a créé le Transcore ; et aussi touchant à la fois , car il lutte contre le futur, seul au monde, parce qu’ il ne veut pas prendre le Transcore comme les autres. Il continue à prendre le métro car il n’a pas confiance en la technologie, contrairement aux autres personnes qui elles acceptent et intègrent la technologie dans leurs quotidien. Kloé n’a pas un caractère facile à cerner, on voit rarement son vrai visage, et on ne sait presque rien sur elle, car on voit souvent son hologramme quand elle appelle Tristan. Elle ne lutte pas et prend le Transcore et elle lui dit même à un moment espérer qu’un jour ils aient leur propre cabine mais Tristan refuse . Cela donne à Kloé des maux de tête terribles, si bien qu’elle avait l’impression que ses yeux allaient exploser et que quand elle en ressort elle a un comportement bizarre. Pourtant elle continue de l’utiliser.
    Le rythme est rapide , l’atmosphère est assez mystérieuse et il y a beaucoup de rebondissements. Les dialogues sont rapides à lire et il sont constructifs. Le graphisme est sombre et les traits sont réalistes et très travaillés, sur certaines vignettes on dirait des photos. L’ensemble donne une BD captivante !

    EMMA ET EMMA
    Collège de Bessines

    • Lucie sur 13 mars 2020 à 10 h 47 min

    J’ai bien aimé ce livre , ou plutôt l’ambiance de celui-ci. L’atmosphère est intrigante, les nouvelles technologies comme le « Transcore » ou les « communications holographiques » sont futuristes et presque utopiques sauf lorsque l’on se plonge vraiment dans la BD et que l’on découvre tout ce qu’il y a derrière ça, en suivant le protagoniste Tristan, en découvre toutes les facettes de cette ville ce qui en devient presque « dystopique », la façon dans laquelle les plus haut gradés manipulent la population est vraiment horrible et inhumaine ,l’auteur arrive vraiment à transmettre ses sentiments de questionnements, les couleurs ternes et les graphismes décrivent aussi très bien les émotions et l’ambiance générale de l’histoire .

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