Les cœurs de ferraille, tome 2. L’inspiration

 

 

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#ségrégation

#robots

Les cœurs de ferraille, tome 2. L’inspiration

Béka (Scénario) et José-Luis Munuera (Dessin)

Dupuis (juin 2023)

72 p.  – 14,50 €

9791034768684 

 

BD commune aux sélections 5e-4e et 3e-lycée  

Eva, une jeune vagabonde accompagnée de son chien Jesper, mène une vie de liberté, de solitude et de chapardage. Elle a un jour la bonne surprise de trouver un livre qui va lui bouleverser l’âme. Mais aussi bouleverser sa vie. Car Halfa, un riche suprémaciste, a chargé deux robots Limiers de retrouver les exemplaires de ce livre et d’assassiner son auteur, Weldon, un robot : laisser en circulation pareil ouvrage pourrait bien accréditer la thèse qu’une mécanique peut avoir une âme. Et ça, Halfa, qui craint que les robots ne remplacent les humains, ne le veut pour rien au monde.

 

 

 

8 Commentaires

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    • Nantiat_Yara sur 25 mars 2024 à 16 h 10 min
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    Je mets une étoile pour les dessins, une 2ème pour le suspense, une 3ème pour l’histoire, et une 4ème pour le rythme. C’est parfait !

    • Nantiat_Erine sur 25 mars 2024 à 16 h 14 min
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    C’est une fille qui possède un livre écrit par un robot. Un homme envoie deux limiers pour détruire les exemplaires du livre et tuer le robot qui en est l’auteur. Eva, la fille, va donc se faire pourchasser…
    Le sujet de l’histoire me m’a pas intéressée car les robots ne sont pas à mon goût et le déroulement de l’action était trop lent. De plus, il n’y avait pas trop de mystère. Par contre, les personnages étaient plutôt réalistes.

    • Leny G. sur 8 avril 2024 à 14 h 55 min
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    Un Livre rempli de messages

    C’est l’histoire d’une jeune fille et de son chien prénommé Jesper qui par malheur va découvrir un livre qui va bouleverser sa vie, car l’auteur de ce livre est recherché par Halpha, un homme qui a peur de se faire remplacer par les robots .

    J’ai trouvé que les dessins étaient plutôt bien détaillés, on ressentait les émotions à travers les personnages et le jonglage des couleurs entre le noir et blanc et les couleurs m’ont aidé à comprendre le livre car de ce que j’ai compris que quand les dessins passaient en noir et blanc, c’est pour annoncer l’intrigue (de la page 3 à 9 ) ou encore des moments importants de l’histoire.
    La mise en page du livre est plutôt banal à part à quelques endroits comme à la page 47 et 50 où il y a un agrandissement des cases.
    Dans l’histoire, les termes pour désigner les « deux camps » sont « personnes organiques » et « personne mécaniques », le personnage principal subit beaucoup de moments tristes dans l’histoire comme la mort de ses parents puis ensuite la mort de son chien Jesper.
    Pour moi je trouve que c’est une belle histoire avec une belle morale comme par exemple :
    « Ce n’est pas parce que tu n’es pas comme les autres (donc là, dans l’histoire, un robot) que forcément tes idées sont mauvaises ».
    Les dialogues sont normaux, mais l’écriture des dialogues est originale car quand c’est un robot qui parle, l’écriture est écrite à l’ordinateur alors que quand c’est un homme qui parle l’écriture est écrite à la main.

    J’ai trouvé que c’était un livre plutôt agréable à lire, l’histoire est entraînante et j’en suis sûr que tu aimerais !!!

    • Louis K. sur 8 avril 2024 à 14 h 55 min
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    Les Cœurs de ferraille : Béka et José-Luis

    Résumé:(du deuxième tome )
    Une jeune fille, accompagnée de son chien Jesper, a une vie plutôt sympa mais ceci change lorsqu’elle trouve un livre qui va bouleverser sa vie. Un homme envoie deux limiers pour détruire les exemplaires de ce livre et son auteur .
    Mon avis / J’ai beaucoup aimé ce deuxième tome car il contient tout ce que j’aime dans une bande dessinée : des dialogues qui te donnent beaucoup d’informations, du drame, une histoire bien développée et construite etc …
    Critique : Les cœurs de ferraille ,une BD remplie de personnalité !!!
    L’utilisation des couleurs est excellente dans ce livre comme à la page 3 où la case est faite en noir et blanc pour signifier le passé et le mauvais temps (la pluie). La qualité des dessins aurait pu être mieux faite, on dirait qu’ils ont étés dessinés vite fait et n’ont pas été valorisées (les couleurs aident beaucoup à rendre les dessins meilleurs)
    La mise en page est parfaite , l’espace est bien utilisé (à voir page 50 pour voir l’utilisation d’un agrandissement de case), durant cette BD on voit que la différenciation de taille des cases est la plupart du temps horizontale .
    L’histoire est unique et originale. Pour moi le début est passé un peu trop vite car on nous donne beaucoup d’informations dés le début de l’histoire et j’aurais préféré un début plus lent pour mettre en valeur l’histoire flagrante et non pareille. Le personnage principal a comme chance d’avoir beaucoup de personnalité et de profondeur, elle est beaucoup plus présente dans l’histoire que les autres personnages. J’aurais voulu en découvrir plus sur Halpha et sa relation avec les limiers (comment est-il arrivé au pouvoir dans la société de la BD ?).
    Je trouve que le temps des dialogues est correct, ce qui est bien c’est que l’on peut extraire des émotions, des idées, des pensées, ce qui donne à la BD une conscience en sorte. Cette technique nous permet d’être plus investi dans l’histoire et les personnages .
    Phrase de conclusion :
    Cette BD est tés intéressante grâce à la variation de taille des cases, l’histoire unique, la vivacité des personnages et les dialogues parfois petits mais à la fois captivants et lucratifs. Merci beaucoup d’avoir lu.

    • Théo L. sur 8 avril 2024 à 15 h 01 min
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    A quel moment une machine devient-elle humaine ?

    Les Cœurs de ferraille est une BD écrite par Béka et José-Luis Munuera. Dans celle-ci, ils racontent l’histoire d’Eva, une jeune filles grandissant dans un monde où les humains ont créé des robots intelligents à l’apparence humaine. Eva,n otre protagoniste, vit seule depuis l’assassinat de ses parents par des robots.
    Pour survivre elle va commencer à voler, c’est lors d’un de ces vols qu’elle va obtenir un livre écrit par un robot !

    Ce film repend le thème de la ségrégation raciale, avec 2 espèces, les humain et les robots. Les robot sont brimés et injuriés par les humains qui sont leurs propriétaires, car ils ne sont considérés que comme des objet sans véritable conscience, on peut alors se demander : qu’est-ce qui rend un être conscient ? Par exemple si on considère qu’une machine ne possède pas de conscience, alors comment prouver que nous nous en avons une ?
    C’est le serpent qui se mord la queue, avouez que l’un a raison, c’est avouer que l’autre a tort. Pour faciliter tout cela, dans l’univers de cette BD, il convient que ce qui diffère d’une machine et d’un homme , ou plutôt , la différence entre un être conscient et un être inconscient, c’est l’inspiration.
    L’Inspiration est la capacité à penser, créer par soi-même.Ce concept permet donc aux humains de se considérer comme supérieurs aux robots, or pendant l’histoire notre héroïne, Eva, va rencontrer Weldon, un robot ayant écrit un livre. Cet ouvrage fait grâce à son inspiration fait de lui selon toutes logiques un être conscient. Les humains voulant garder leur supériorité vont chercher à faire disparaître ce livre.

    • Georges F. sur 8 avril 2024 à 15 h 52 min
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    Livre sur les robots du 19ème siècle
    Bonjour, je souhaite partager mes émotions après la lecture des Cœurs De Ferraille 2. L’inspiration, même si je ne connaissais pas le premier tome du deuxième, j’ai même beaucoup aimé son histoire, ses personnages et ses visuels.
    L’histoire se déroule dans un monde autour du 19ème siècle, mais les gens ont déjà été capables de fabriquer des robots dotés d’une intelligence artificielle ; la plupart de la société ne reconnaît pas les robots en tant qu’individus, de sorte que les robots travaillent principalement dans des emplois qui ne nécessitent pas d’idées créatives.
    L’histoire commence avec une fille sans abri nommée Eva, ses parents ont été tués par des robots quand elle était encore petite, après quoi elle a trouvé un chiot et l’a nommé Jesper, ensemble ils se sont frayés un chemin dans les maisons des gens riches, jusqu’à ce que les propriétaires vivent dans ces maisons et ont ensuite volé ce qu’ils pouvaient emporter. Et dans une maison, Eva a trouvé un livre écrit par un robot, symbole des robots car ils peuvent aussi faire de l’art, mais les chasseurs de tels livres sont précisément ces robots qui ont tué les parents d’Eva.
    Personnellement, j’ai beaucoup aimé, je me souviens surtout des robots qui ont tué les parents d’Eva, ils sont complètement opposés les uns aux autres et cela les complète très bien. J’ai aussi aimé l’idée que les gens ont peur que même dans le travail créatif, ils puissent être remplacés par des robots , mais je n’aimais pas le chien, quant à moi, c’était un personnage absolument inutile, et s’il n’existait pas, presque rien ne changerait. Malgré cela, je vous recommande quand même de vous familiariser avec ce travail, vous ne le regretterez certainement pas.

    • Asma B.Y. sur 8 avril 2024 à 15 h 55 min
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    Une histoire touchante et intéressante

    Dans cette critique je vais vous donner quelques éléments qui vous donneront envie de lire Les Cœurs de ferraille car pour moi c’est une BD bien faite avec de belles images et très rapide à lire.

    LA QUALITE DE LA BD :

    C’est une BD avec beaucoup de contraste.
    L’auteur utilise beaucoup de couleurs, c’est agréable à regarder.
    Je trouve que dans cette BD l’auteur a beaucoup utilisé le visuel pour attirer le lecteur dès la page de garde. Ce qui m’a plu également, c’est lorsqu’il parle, mentionne un « flashback », il ne met plus de couleurs mais les images deviennent noires et blanches. Par exemple : de la p.3 à 9.
    Il y a aussi les cases de BD, elles sont très bien structurées selon les émotions qu’ils veulent transmettre
    Il varie les tailles, les formes, les couleurs sont plus ou moins joyeuses. Par exemple : 34 à 35 qui reflètent un passage mouvementé et avec les couleurs et la maitrise du dessin nous sommes emportés dans ce mouvement. Je tiens aussi à parler de la qualité du dessin qui parait très réaliste donc qui nous plonge encore plus dans l’histoire.

    LA LECTURE DE LA BD :

    Tout d’abord, je trouve que dans cette BD ce qui est intéressant est le fait qu’il ait mélanger les humains et les robots.
    Et j’ai trouvé très malin également qu’il commence cette BD par un passage tragique et triste d’une enfant ce qui peut donner envie au lecteur de continuer à lire pour voir ce que va devenir l’enfant.
    Vu que cette BD est très illustrative, elle est très rapide à lire.
    Cela fait penser aussi au film des enfants errants mais qui se battent et accomplissent de bonne choses.

    CONCLUSION :

    Pour conclure, je vous conseille fortement de lire Les cœurs de ferraille car c’est très intéressant avec beaucoup d’images un contexte touchant et une aventurière qui se bat.

    • Evan D. sur 8 avril 2024 à 15 h 59 min
    • Répondre

    Les machines ont un cœur. (sur Les cœurs de ferraille tome 2)

    Critique très positive que ce soit dans le scénario, les dessins ou les personnages.
    Cette BD a une histoire originale que je n’avais jamais lue auparavant, que l’on peut lire sans avoir lu le tome 1 pour comprendre. Cette BD parle d’une fille vagabonde, Eva, accompagnée de son chien Jesper qui aura trouvé un livre qui va complètement changer sa vie. L’antagoniste dans ce tome est Halfa qui charge deux robots Limiers de retrouver tous les exemplaires du livre et de tuer son auteur qui est un robot se nommant Weldon.

    Cette BD propose beaucoup d’action et d’humanisme, les machines dans la BD sont humanisées et ressentent des sentiments comme le plaisir qu’elles éprouvent à lire l’exemplaire du livre de Weldon en groupe. Même Weldon est plus humain que Halfa qui a peur que les machines remplacent les humains et les considèrent comme inférieures. La BD nous montre donc que même ces machines ont un cœur.

    Les cœurs de ferraille nous proposent également un graphisme et du dessin de qualité, les couleurs et les contrastes sont très bien choisis. Cette BD est très agréable à lire.
    C’est un très bon livre, à part ça il aurait peut-être fallu lire quand même le tome 1 pour savoir d’où viennent certains des personnages comme les robots Limiers par exemple.

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