Mis en ligne mercredi 26 juin à 22h45
Bonjour,
A notre lever, une épaisse brume enveloppe toute la vallée. La nuit s’est très bien passée pour nous tous et après un bon petit déjeuner, nous empruntons un sentier pour rejoindre notre moniteur de pelote basque. Il nous avait donné rendez-vous au trinquet de Baïgorri. Celui-ci est une immense salle où se pratiquent des sports de pelote basque. Notre moniteur commence sa séance par une présentation détaillée de l’histoire de la pelote basque ainsi que ses différentes variétés des jeux (aires de jeux, raquettes, balles…)
Puis c’est à notre tour de nous exercer à ces différents jeux de pelote : les débuts sont difficiles mais très rapidement certains se sont bien débrouillés, forçant l’admiration de notre moniteur.
Puis nous revenons à notre centre d’hébergement pour déjeuner. La brume a disparu et le soleil commence à chauffer. Le repas, toujours pris à l’ombre des mûriers platanes, est encore copieux et délicieux. Une sieste est généreusement octroyée puis nous redescendons au village. Un premier long arrêt a lieu sur l’immense « fronton place libre » et malgré la chaleur (34°C), certains veulent mettre en pratique les rudiments de pelote basque appris ce matin même.
Nous reprenons notre chemin en longeant la rivière, la Nive des Aldudes qu’enjambe le pont dit « romain » et poursuivons jusqu’à l’église Saint Etienne.
A l’intérieur, nous apprécions autant sa beauté et ses trois étages de galerie que sa fraîcheur bien agréable. Juste à côté, nous achetons quelques souvenirs (cartes postales, livres, sacs…) et profitons des glaces de la chocolaterie voisine et de la gentillesse de son personnel.
Seule la perspective de profiter une nouvelle fois des bienfaits de la piscine du centre nous redonne force pour rejoindre notre lieu d’hébergement. Quelle chance de pouvoir profiter pleinement de cet équipement sous un si chaud soleil et dans un si beau cadre !
Après la piscine, nous jouons soit à la pelote soit au foot sur l’immense terrain situé à l’entrée du domaine d’Oronozia. Avant de passer à table, nous sommes observés sous toutes les coutures pour débusquer les tiques mais la chasse s’est avérée moins prolifique qu’hier.
Pour finir cette belle journée, Michel FAYE, face à un public conquis, donne un cours sur l’histoire de l’astronomie : nous savons tous pourquoi une heure comporte 60 minutes… Nous avions à peine rejoint nos chambres que l’alarme incendie se déclenche dans tout le centre : un adulte fumeur d’un groupe de randonneurs brivistes en serait peut-être la cause… Tout le monde se porte bien.
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