Brive-la-Gaillarde, une ville située dans le département de la Corrèze en France, est connue pour sa passion pour le sport. Bien que la ville n'ait pas été directement impliquée dans l'organisation des Jeux Olympiques, elle reste un foyer d'activités sportives dynamiques.
Les habitants de Brive-la-Gaillarde sont fiers de leurs clubs sportifs locaux. Parmi les disciplines les plus populaires, on retrouve le rugby, avec le célèbre club du CA Brive Corrèze Limousin. Les matchs de rugby sont des moments de rassemblement pour la communauté, où les supporters se réunissent pour soutenir leur équipe favorite avec passion et ferveur.
Mais le sport à Brive-la-Gaillarde ne se limite pas au rugby. La ville offre également une variété d'autres sports, tels que le football, le handball, le tennis, l'athlétisme, la natation et bien plus encore. Les installations sportives modernes de la ville permettent aux habitants de pratiquer leur sport préféré et de participer à des compétitions locales.
Brive-la-Gaillarde accueille également régulièrement des événements sportifs de haut niveau. Des compétitions de rugby, des tournois de tennis et des courses cyclistes sont organisés, attirant des athlètes et des spectateurs venus de toute la région.
Bien que Brive-la-Gaillarde n'ait pas été choisie pour accueillir les Jeux Olympiques, la ville reste fière de son héritage sportif et continue de soutenir ses athlètes locaux dans leur quête d'excellence. Les habitants de Brive-la-Gaillarde sont passionnés par le sport et considèrent leur ville comme un véritable bastion de l'esprit sportif.
En somme, Brive-la-Gaillarde est une ville sportive dynamique qui célèbre le sport sous toutes ses formes. Que ce soit en tant que spectateur passionné ou en tant qu'athlète passionné.
Maud MERLE, Illona BOUCHET-CHAMBELIN et Emmie GUILLON, en classe de 2GT au lycée Bahuet, Brive-la-gaillarde.
Lac du Causse, Brive-la-gaillarde. http://www.brivemag.fr/brive-lance-sa-video-pour-les-jo/
Le 26 Février 2024 j’ai interviewé Cyril Blondet au gymnase de Bouquet à Brive-la-gaillarde, sur son parcours de joueur, mais aussi d’entraineur. Ce témoignage permet de connaitre son expérience durant son parcours sportif.
Interview filmée réalisée par Tim Forie Seconde GT, lycée Bahuet.
La région Nouvelle- Aquitaine contribue à une meilleure représentation des femmes dans le sport.
On peut dire que les femmes jouent un rôle crucial dans le monde du sport. Malgré les progrès réalisés en matière d’égalité des sexes, il reste encore beaucoup de défis à relever pour garantir que les jeunes filles ainsi que les femmes aient les mêmes opportunités que les hommes dans le domaine du sport.
Les défis actuels
Cependant, au mépris de certains succès féminin au fil des ans , les femmes ont souvent été confrontées à des stéréotypes de genre qui persistent :
être moins compétitive ou moins déterminée, et physiquement faible,
l’orientation sportive (les femmes sont souvent orientées vers des sports jugés plus féminins).
Mais aussi les femmes font face à des inégalités de financement. Des équipes et des programmes sportifs féminins sont souvent moins rémunérés dans n’importe quel domaine comparé à des équipes masculines . De plus, elles peuvent ne pas bénéficier du même niveau de reconnaissance ou de soutien financier même avec des performances remarquables.
Cela provoque encore aujourd’hui des limites sur l’accès des femmes à des installations de qualité (programme d’entraînement adapté ou des encadrements adéquats) . De plus, ces stéréotypes continuent d’influencer la perception des femmes dans le sport, les reléguant parfois à un rôle secondaire ou même les décourageant à poursuivre une carrière sportive .
Initiative et Progrès
Des initiatives prometteuses voient le jour pour promouvoir l’égalité des chances dans le sport en Nouvelle-Aquitaine. Des programmes contribuant à la sensibilisation sont mis en place pour encourager les jeunes filles à s’engager dans le sport dès leur plus jeune âge (ateliers, conférences et témoignages, programme d’initiation au sport, des partenariats avec les écoles et les clubs ). Mais aussi des campagnes de sensibilisation sont lancées pour lutter contre les stéréotypes : ce qui permettrait de briser les barrières culturelles et sociales, et qui pousserait à une meilleure représentation équitable des femmes dans les médias sportifs et à un développement global de la société.
La région Nouvelle-Aquitaine favorise l’accès des femmes au sport. Le 23 octobre 2017, un plan de soutien à la politique régionale de féminisation du sport est voté, avec pour but de confirmer la volonté de la région Nouvelle-Aquitaine de développer et de promouvoir le sport féminin.
Des équipes-phares :
Football: Club girondins de Bordeaux,
Rugby : CAB, section paloise, stade Rochelais,
Volley-ball : Bordeaux, Mérignac,
Basket : Limoges CSP, Tarbes Gespe Bigorre,
Triathlon : Brive Limousin.
De nombreuses sportives font rayonner la Nouvelle-Aquitaine :
Picon aux Jeux olympiques de 2016, https://en.wikipedia.org/wiki/
Charline Picon, 31 ans, championne olympique de planche à voile. Elle s’entraîne au club de la Tremblade situé à côté de Royan .
Laure Manaudou championnat de France 2012. Crédit: AFP
Laure Manaudou, 37 ans, origine française dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, une nageuse française ayant obtenu des résultats nationaux et internationaux .
Triple saut. Jeanine Assani-Issouf qualifiée pour la finale des championnats d’Europe 08/2018 lepopulaire.fr
Jeanine Assani-Issouf, 23ans, pratique l’athlétisme. Une des première française de sa catégorie. La jeune femme se positionne actuellement dans le top 8. Elle est formée en Nouvelle-Aquitaine. La championne du Limoges Athlé a participé aux jeux olympiques de Rio en 2016.
Justine Dupont, 26 ans, originaire de la région Nouvelle- Aquitaine. Multiple championne de France et d’Europe. En 2017 avec l’équipe de France elle devient championne du monde.
Article rédigé par Camille Larivet et Lucas Bretagnolle, en classe de 2de au lycée Bahuet, BRIVE.
La classe de 2de GT a participé cette année scolaire à une action d’éducation aux médias. La classe a été inscrite à l’action « e.reporter » portée par le réseau CANOPé de la Corrèze. Cette action permet non seulement de rencontrer des acteurs de l’information mais aussi de décrypter, comprendre et produire de l’information. Ainsi la classe a créé son blog d’information accessible par le site du lycée.
Lors de la journée du 25 mars les élèves de différents établissements scolaires de Corrèze ont eu accès en visio aux témoignages d’intervenants engagés dans la vie locale citoyenne et la lutte contre les inégalités et discriminations, deux thèmes retenus par le réseau Canopé. Ils devaient rédiger des articles concernant ces 2 thèmes pour le 1er Avril, 14h57 ! Des prix ont été attribués par un jury désignant les productions les plus pertinentes. Et la classe a reçu le GRAND PRIX de L’ENGAGEMENT (journalistique évidemment)
Le lendemain, au CDI, accompagnés par la professeur documentaliste et des professeurs référents, les jeunes ont pu découvrir la diversité des supports médias traitant d’un sujet précis, la guerre en Syrie. Presse écrite, reportage radio, photographies de presse et dessins d’enfants, autant de supports pour appréhender un sujet pas facile et douloureux.
Cette semaine de la presse riche a permis de développer l’esprit critique, former des citoyens éclairés, capables de trier, et accéder à l’information au-delà des fakes news diffusées largement sur les réseaux sociaux.
« L’entente des vergers » est née en 2009 de l’entente de 5 clubs: Chamberet, Auvézère Foot, Concèze, Entente Troche Vigeois, Uzerche. En chiffres : environ 200 jeunes de 6 à 17 ans, une vingtaine d’éducateurs, 17 équipes dont 3 féminines et des équipes garçons dans chaque catégorie. Les créateurs de l’Entente des vergers sont Jean-Jacques Loubriat et François Leclair.
Equipe féminine des séniors
C’est une équipe de football qui accueille des jeunes filles et garçons de tous âges. C’est aussi un club qui entraîne des équipes pour atteindre un bon niveau comme l’équipe féminine des séniors qui sont au niveau R2. Les entraîneurs font des stages pour que les jeunes puissent découvrir ce club et leur passion. Dès l’âge de 17 ans, ils peuvent par la suite accéder aux mêmes installations que les séniors de l’Entente des vergers.
Equipe féminine U14-U17
Témoignage de Jade Besse, milieu défensif sur le terrain : « Depuis mon plus jeune âge je restais toujours avec des garçons ce qui m’a fait découvrir cette passion pour le foot. Puis je me suis inscrite dans ce club et grâce aux entraîneurs qui savent faire la part des choses : ils savent rigoler avec nous mais ils savent aussi rester très sérieux pour pouvoir s’adapter à n’importe quel niveau et nous aider à progresser ».
Equipe masculine U7-U9
Ce club propose aussi des activités comme le foot en salle. Les jeunes s’initient, s’améliorent et s’amusent en débutant ou progressant dans ce sport. Ceci représente les engagements dans cette commune de Lubersac.
Lionel Laverdet, 49 ans, se lance dans un projet fou. Suite à la découverte d’un four à pain domestique gallo-romain aux Roubegeolles à Vayrac, l’homme prend contact avec une aquarelliste de Martel afin de réaliser un soldat gaulois à l’occasion de l’ouverture de sa ferme auberge sur le thème gaulois.
Le four gallo-romain domestique fut découvert en octobre 2018, celui-ci est daté de -50 a +200 années après Jésus-Christ. Lionel Laverdet annonce: “Nous allons faire des soirées gourmandes autour du thème des banquets gaulois”.
Lionel Laverdet et Françoise Legendre montrent une peinture en aquarelle un soldat gaulois
Lionel Laverdet a également créé une association qui se nomme « Les Gaulois de Roubegeolles ». Le président de cette association est François Moser. Cette association a été créée afin de proposer aux habitants de la région de contribuer à des week-end participatifs au vu d’un projet dans un futur proche, il consiste à la reconstitution de la vie gauloise et de la dernière bataille entre les gaulois et les romains. Cela n’est qu’un des nombreux projets envisagés par cette association.
Pour finir cette ferme auberge gauloise se situe à environ 3 kilomètres d’Uxellodunum (lieu reconnu pour être la dernière bataille entre les gaulois et les romains). D’octobre à décembre une opération de communication aura lieu auprès des écoles afin d’accueillir des classes découvertes de mars à juin 2022.
J’aimerais commencer mon discours par une citation de Harvey Milk, une militante transgenre héroïne des émeutes de Stonewall en 1969 : « Tous les jeunes indépendamment de leur orientation sexuelle et de leur identité méritent un environnement sûr et favorable leur permettant de réaliser leur plein potentiel». Luna, c’est le nom d’une jeune fille transgenre, elle avait 17 ans, ses amis disaient d’elle qu’elle était une fille remplie de joie, bienveillante et toujours optimiste. Et pourtant le 15 décembre dernier, elle s’est enlevée la vie, trois jours avant de commettre cet acte on lui avait interdit de porter la jupe qu’elle aimait tant mettre et qui voulait tant dire pour elle. Le harcèlement qu’elle subissait, seulement car elle était elle-même lui a enlevé la vie, elle avait pourtant tellement de choses à vivre et à accomplir. Cette détresse psychologique qu’elle vivait et qui touche beaucoup d’autres, quand va-t-on la voir? Quand le meurtre de nos adelphes va t -il s’arrêter ? Nous ne sommes plus tristes, nous sommes en colère, je prononce ce discours pour tous ceux qui sont partis, tous ceux à qui on a enlevé le droit le plus fondamental de l’humain. Nous sommes en colère d’être censurés quand nous essayons de faire valoir nos droits, d’être constamment moqués nous met en colère. Nous sommes en colère qu’on remette nos droits en question. Luna n’a même pas eu le respect qu’elle méritait et même après sa mort, certains ont continué d’utiliser le prénom qui n’était plus celui auquel elle s’identifiait. Je ne veux plus être en colère, je ne veux plus être triste, je veux la justice, je veux de la reconnaissance pour les 331 personnes qui comme Luna ont perdu la vie en 2019. Je veux la justice pour Shelby, Angie, Brandy, Ashley, Islan et tous les autres. Je ne veux plus qu’on utilise la divergence d’opinion pour excuser le meurtre de mes adelphes. La transphobie a tué, elle tue, et elle tuera toujours, mais il reste un espoir, l’espoir de l’unification, l’espoir d’un monde où chacun serait libre d’être celui qu’il est, l’espoir d’unir nos forces pour faire changer la honte de camp. La transphobie n’est pas un avis, c’est un délit.
Sur le thème de l’engagement contre les discriminations trois élèves ont réalisé une vidéo qui interroge sur des sujets d’actualité. Sacha Dezier nous raconte en vidéo.
Compte-rendu du reportage: « Violence conjugale, le cercle infernal, Temps Présent »
Une mère a perdu sa fille car son compagnon l’a tué, Stecy une jeune femme de 26 ans a reçu 11 coups de couteau et 3 balles. Une femme sur cinq connait de la violence physique par son conjoint. A son tour, Carole, 32 ans, s’envole sous les coups de son conjoint et laisse derrière elle un enfant de 3 ans et des jumeaux de 8 ans.
En Suisse, toutes les deux semaines une femme est tuée par son mari, une femme est donc plus en danger chez elle que dans la rue. Les victimes vivent une relation « d’emprise » avec leur conjoint, elles les excusent de tout, trouvent des excuses pour ne pas accuser leur agresseur. Certes elles souffrent mais elles ne voient pas et ne comprennent pas les raisons. Ces agresseurs abusent de la faiblesse de leur conjoint(e) en leur disant comment s’habiller ou quoi manger (au restaurant par exemple), en leur faisant du chantage très souvent en rapport avec l’argent ou des objets de valeur.
Les victimes subissent une forte pression de la part de leur compagne/compagnon et sont constamment rabaissées, insultées. Cela prouve que les violences conjugales ne commencent pas par les coups. L’agresseur fait des promesses à sa victime en lui disant qu’il ne recommencera plus mais malheureusement c’est un cycle de violences sans fin…
En France, en 2019, 146 femmes ont été tuées par leur compagnon ou ex-compagnon. 27 hommes ont été tués sous la violence de leur compagnon ou ex-compagnon. 84% des victimes décédées au sein d’un couple sont des femmes.
L’unité de médecine des violences du CHUV est l’un des établissement que les femmes ou les hommes battu(e)s peuvent consulter. Une infirmière rédige des constats médicaux légaux suite à des agressions. Les constats sont utiles pour les victimes quand elles sont dans un cas de procédure judiciaire pour leur rappeler que ce ne sont pas elle les fautives. Pour cela l’infirmière va prendre des photos des lésions, la victime va lui décrire les actes de violences qu’elle subit pour pouvoir par la suite se défendre en justice contre le ou la conjoint(e). Pour 40% des femmes battues les coups et pressions morales ont commencé lorsqu’elles étaient enceintes.
Le centre Malley Prairie (à Lausanne) accueille des femmes battues qui ne savent pas où aller car elles ne peuvent pas compter sur leurs proches ou qu’elles n’ont pas assez de moyens. Les employés de ce centre soutiennent mentalement les victimes.
Enfin, le planning familial est un endroit où les personnes victimes de violences conjugales peuvent se rendre. Des bénévoles les accueilleront. Elles pourront se confier et être aidées.
sicoval.fr
Sources: – youtube: reportage « Violence conjugale, le cercle infernal, Temps Présent«
– « Etude Nationale sur les morts violentes au sein d’un couple », 2019, Ministère de l’Intérieur, Délégation aux victimes
