Le signe des rêves (sélection collège)

Gérant naïf et falot d’une petite manufacture d’objets en caoutchouc, M. Kamoda se voit placé sous séquestre pour fraude fiscale ; excédée, sa femme le quitte. De plus, il est victime d’une escroquerie
qui le laisse criblé de dettes… Alors qu’il erre sans but dans la ville avec sa fille Kasumi, à deux doigts de céder à des pulsions de désespoir, il va trouver sur sa route un étrange “signe des rêves”, qui l’amènera jusqu’à Paris pour l’aventure de sa vie, dans une série de manigances concentriques autour de la Dentellière, le chef-d’œuvre de Vermeer…

21 Commentaires

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    • Thomas DARNET sur 30 novembre 2018 à 10 h 49 min

    Bonjour,
    Je n’ai pas apprécié ce livre, malgré les dessins très réalistes, je n’ai pas accroché aux personnages et à l’histoire de ce manga, la façon de parler du Directeur de l’institut de France fut très agaçante et je trouve beaucoup trop caricaturale. L’histoire du livre est très longue mais ne nous dépayse pas pour autant car l’univers se rapproche beaucoup de la France contemporaine.

    • Arsonval-Nicolas sur 3 décembre 2018 à 12 h 50 min

    Je n’ai rien a dire sur le manga sauf qu’un des personnages principaux arrête pas de dire « sans façon » et ça devient lourd à force. Les dessins sont pas super j’aurais plus les faire moi même. Puis comme j’ai déjà visité le Louvre j’ai reconnu quelques pièces.

    • nantiatArthur sur 3 décembre 2018 à 16 h 54 min

    J’ai bien aimé ce manga car les personnages sont attachants, les graphismes sont beaux, faciles à lire et le personnage principal est intelligent et curieux. Le seul problème est que le père du personnage principal est naïf et croit tout se qu’on lui dit. Je ne pensais pas l’aimer autant je vous le recommande fortement.

    • Kellen Darnet sur 4 décembre 2018 à 8 h 37 min

    Le manga « Le signe des rêves » est un seinen vraiment original !
    Les graphismes sont très simplets et me rappellent un peu Osomatsu-kun !
    Au niveau des personnages, c’est plutôt clichés et étrangement je me suis rendu compte que le directeur Iyami est le même personnage que dans Osomatsu-kun, le père est plutôt naïf et la fille très curieuse et intelligente, elle a direct remarqué la différence entre la tour de Tokyo et la tour Eiffel sur la photo !
    J’ai personnellement pas trop aimé l’histoire, j’avais même parfois envie d’aller direct à la fin car la scène actuelle était tout sauf accrochant !

    • Arsonval - Jade sur 17 décembre 2018 à 12 h 48 min

    Je n’ai pas aimé ce manga car je trouve les personnages pas du tout intéressants et l’histoire n’est pas accrocheuse du tout. J’ai juste aimé certains graphismes bien chargés.

      • NantiatEline sur 2 avril 2019 à 16 h 58 min

      Je suis tout à fait d’accord avec toi, l’histoire ne m’as pas du tout intéressé mais cependant les dessins sont bien réalisés.

    • nantiataudrey sur 25 décembre 2018 à 22 h 37 min

    Le livre ne m’a pas plu, le scénario est monotone il ressemble à la vie quotidienne, il ne m’a pas fait voyager. Le graphisme ressemble à une bande-dessinée et le dessin semble moins travaillé. Les personnages ne sont pas attachants sauf peut-être la petite fille qui est quand même intelligente, mature et responsable pour son âge. Le père qui est un peu crédule et « mollasson ». Le Directeur de l’Institut de France est énervant à lire à cause des « sans façon » qu’il met à la fin de ses phrases. L’atmosphère est, pour moi, ennuyeuse et assommante, pas grand chose ne se passe dans ce manga.

    • ObjatCamille sur 8 janvier 2019 à 13 h 47 min

    J’ai bien aimé ce livre, j’adore le père du personnage principal que je trouve drôle et attachant. L’histoire est un peu déstabilisante car je ne comprends pas trop les choix de « Monsieur le directeur Sans Façons », un personnage que le père et sa fille vont rencontrer plus tard dans l’histoire. Il va leur confier la tâche de ramener des œuvres qu’il dit avoir volées au Louvre, ce qui n’est pas très logique, en tous cas, moi je ne laisserais pas cette tâche à un père de famille ruiné et sa petite fille. Mais dans tous les cas, j’ai beaucoup aimé ma lecture et je trouve les dessins magnifiques, qui sont mis encore plus en valeur grâce au grand format du livre. Nous reconnaissons bien les dessins de l’auteur de «Monster» qui est pour moi un incontournable. Enfin, grâce à ce livre, je connais à présent beaucoup d’œuvres qui sont exposées au Louvre, je trouve ce manga fort enrichissant. Donc comme vous avez dû le voir, j ai beaucoup apprécié cette lecture !

    • ccabanisAnna sur 13 janvier 2019 à 18 h 35 min

    J’ai apprécié ce manga. Les personnages sont attachants et on ne peut qu’être compatissant face à la situation d’ impuissance à laquelle ils sont confrontés. Les personnages principaux ont des caractères bien définis entre le père décidé à s’en sortir et sa fille qui veut aider son père sans qu’il devienne un voleur.
    Les graphismes sont beaux et les dialogues faciles à lire. Ce livre nous permet également d’admirer les lieux culte de Paris. L’histoire est intéressante je lirais certainement la suite.
    Je recommande ce manga

    • nantiatmaelle sur 14 janvier 2019 à 9 h 12 min

    Je pense que pour la petite Kasumi cela doit être très dure de vivre comme ça, elle va parcourir tout Paris, en plus sa mère est partie, son père est victime d’une escroquerie qui le laisse rempli de dettes. Ils n’ont même plus de maison.Je n’ai pas beaucoup accroché car c’est très bizarre et étrange !

    • NantiatEline sur 17 janvier 2019 à 16 h 41 min

    Je n’ai pas spécialement aimé ce manga car le monsieur ne fait que répéter « sans façon », et je n’aime pas non plus cette histoire car on s’attend à ce que le père aille voler les œuvres dès le tome 1, alors qu’en fait il va sûrement aller au musée dans le tome 2. Globalement les dessins sont bien fait et ça peut-être une bonne histoire, et je pense que ça peut plaire à d’autres personnes, mais personnellement ce n’est pas mon style de manga.

    • lycrenoirclémence sur 17 janvier 2019 à 21 h 04 min

    Honnêtement, j’ai pas du tout aimé ce manga… Le scénario était assez flou, les graphismes moyens et les personnages peu intéressants. Je suis déçue, je ne m’attendais pas à ça… J’espère que l’auteur s’améliorera !

    • ccabanisléane sur 17 janvier 2019 à 23 h 11 min

    Le signe des rêves est un manga en deux tomes fait par Naoki Urasawa. Ce manga se passe en France, et plus précisément au musée du Louvre à Paris.
    En voulant éviter un impôt, Takashi Kamoda et sa famille se retrouvent avec un redressement fiscal. A cause de ces soucis financiers, cet artisan se retrouve seul à élever sa fille, sa femme ayant déserté le foyer conjugal avec un commerçant voisin. Pourtant, Kamoda voit une bonne opportunité de se refaire en s’associant avec des partenaires rencontrés au café du coin : confectionner des masques à l’effigie de la figure politique américaine montante (sosie de Donald Trump). Manque de chance : le succès n’est pas au rendez-vous à cause de la campagne ratée de la candidate, et Kamoda se retrouve toujours sans le sou, avec sa fille. Il voit une lueur d’espoir lorsque devant lui se dresse un corbeau portant à sa patte un papier représentant un signe, un indice qui le mènera lui et sa fille chez un certain Directeur de l’Institut de France. Sur place, ce dernier, exubérant, explique comment il s’est infiltré dans le Musée du Louvre…
    Le récit prend une toute autre couleur vers sa fin, quand les histoires du Directeur rejoignent un semblant de réalité. Un véritable mystère se met alors en place à l’arrivée de Kamoda et sa fille en France. Ils devront résoudre une énigme pour le moins intrigante qui pourrait bien leur mettre des bâtons dans les roues durant la mission qui leur a été confiée par le Directeur.
    Les personnages sont plutôt intéressants. Il y un père un peu trop naïf qui fait tout pour réussir à s’en sortir mais se fait toujours avoir, une petite fille pleine de sagesse, intelligente qui remarque beaucoup de choses et aide du mieux qu’elle peut son père, le directeur, un personnage excentrique qui a un physique plutôt particulier, des tics de langage qui deviennent horripilants et qui fait un récit réaliste et en même temps exceptionnel, si bien qu’on se demande s’il n’a pas juste une imagination débordante.
    Le manga est d’un format plus propre à la bande-dessinée, ce qui est très agréable à lire. Il possède aussi des pages en couleur et une très belle couverture cartonnée. Les dessins sont réalistes et détaillés, ce qui va très bien avec le récit.
    C’est un manga réaliste avec quelques touches d’humour, des personnages aux personnalités marquées et dont l’intrigue est intéressante. L’histoire met un peu de temps avant de commencer mais ce n’est pas gênant car ça met en place la situation.
    Je conseille de lire le signe des rêves. Je pense que ce livre ne va pas plaire à tout le monde, « vu que c’est plus réaliste », qu’il n’y a pas beaucoup d’action, mais cela ne m’a pas gêné et je l’ai bien aimé, j’ai hâte de lire le tome deux!

    • donzelotjeanne sur 18 janvier 2019 à 8 h 59 min

    Ce manga raconte la vie d’un père en difficulté financière qui veut rendre sa femme et sa fille heureuses. Pour ce faire, il fraude le fisc et les meubles de sa maison sont saisis. Sa femme gagne une croisière sur un bateau de luxe et s’en va, le père fait une nouvelle affaire qui tourne mal. Il s’accroche ensuite à une chimère : gagner plus d’argent. Un homme malhonnête profite de sa crédulité et l’envoi en France replacer une pièce de musée et en voler. Le manga est ennuyeux. Il y a une bonne histoire mais des petits détails sont superflus et crée une atmosphère irréaliste et bizarre, comme si on essayait de captiver le lecteur avec des petits « gags » qui ne sont pas placés au bon endroit. On a l’impression que les personnages en font trop pour qu’on les regarde, ce n’est pas réaliste. La seule chose qui est vraiment bien à mon goût, c’est l’arrivée de Michel, qui ce comporte lui en adulte responsable et vraiment comme un père à l’égard de la petite fille, Kasumi. Je ne recommande pas vraiment ce manga.

    • parsac audrey sur 18 janvier 2019 à 14 h 01 min

    J’ai pas trop aimé ce manga car:

    même si le début est pas mal avec le fait qu’elle commence par l’histoire de la famille et des pertes d’argent, le fais qu’il y ait de la politique et quelle soit caricaturée ne m’a pas plu.

    Le fais aussi que le « chinois » ait des grandes dents comme logo, et qu’il soit le patron de l’entreprise de vol de tableau ne m’a pas plu .

    Ce qui m’a plu est le fait que la deuxième partie de l’histoire se passe à Paris et que l’on voit l’intérieur du musée qui est d’ailleurs très bien dessiné.

    • donzelotlorenza sur 22 janvier 2019 à 16 h 05 min

    Malgré le fait que ce manga n’est pas le type de manga que je lis d’habitude, j’ai beaucoup aimé !

    Au début, je n’avais pas très envie de lire mais au fur et à mesure que j’avançais dans l’histoire, elle me plaisait vraiment. Les dessins sont très réalistes et on distingue bien les expressions.

    L’aventure que doit vivre la petite famille est quand même extraordinaire mais aussi très bizarre !

    • ccabanisfelic sur 28 janvier 2019 à 13 h 06 min

    Voir un manga de Urasawa dans la sélection est une excellente surprise pour moi, qui adore cet auteur et ai lu toutes ses œuvres, dont Monster, étant à l’heure actuelle mon manga préféré ( je le conseille à tous bien entendu, sans oublier 20th Century Boys, Pluto, Billy Bat etc etc xD ).
    On suit donc ici un père ayant fait faillite ainsi que sa fille, faisant tout les deux face à un destin douteux les amenant à « l’Institut de Frââânce », tenu par un drôle de monsieur aussi énigmatique que loufoque, dont l’attirance se porte sur la capitale de Paris, et plus particulièrement le Louvre.
    J’aime toujours autant le style graphique, nous plongeant au mieux dans le réalisme. Les décors sont détaillés et agréables à regarder. Quant à l’aspect des personnages, il est bien reconnaissable et fidèle à la patte de l’auteur.
    J’observe une grande contradiction dans le récit qui est ma foi très intéressant : l’histoire racontée par notre francophile parait imaginaire comparée à tout le reste qui est très terre à terre, on doute de ce qu’il dit mais en même temps notre instinct pense et veut que ce soit la vérité.
    La scène qui m’a donné cette idée est l’intrusion de notre homme au dents saillantes dans le Louvre en pleine nuit; l’ambiance a un aspect vraiment féerique, et est brusquement coupée par l’arrivée du vigile. J’ai beaucoup apprécié ce passage, qui nous offre un aperçu de ces rares moments ou l’on se retrouve seul, dans un calme absolu. Les dessins arrivent parfaitement à transmettre ces émotions.
    Le manga montre donc deux aspects omniprésents de manières différentes dans notre société, le réel ( ce qui constitue notre quotidien ) et le fictif ( ce que l’on invente ) et nous fait réfléchir dessus.
    Ce premier tome nous laisse donc une grande liberté d’interprétation quant à la suite des événements et ce qu’on a déjà vu. Je prends particulièrement plaisir à réfléchir au sujet de « Monsieur Sans Façon ». A quoi pense-t-il, a t-il un lien avec Kyoko, pourquoi le tableau de la dentellière est si cher à son cœur, beaucoup d’autres questions sur son compte me taraudent. Il est d’ailleurs mon personnage préféré, et j’espère que le tome 2 en dira plus sur sa personne.
    J’ai adoré, hâte de connaître la suite :3

    • donzelothugo sur 5 février 2019 à 14 h 01 min

    C’est l’histoire d’une fille et son père, pauvres tous les deux qui, pour avoir enfin de quoi manger, son prêts à faire la bêtise de leur vie…

    Voila, c’est le simple résumé du tome 1, ce manga est ennuyeux, simple enfin pas à mon goût. Cependant, les dessins sont pas mal.

    • Voltaire Théo sur 4 mars 2019 à 13 h 56 min

    Tout d’abord, allumez votre télévision Samsung, allez sur TF1, et attendez quelques instants.
    Vous finirez par tomber sur une pub.
    Bien que « Le signe des rêves » ne soit pas une pub pour un digestif, mais pour Paris, et bien sûr, le Musée du Louvre qui a commissionné ce manga, « Le signe des rêves » reste une énorme publicité agaçante à lire.

    Cela est fort regrettable de la part d’un manga qui avait pourtant réussi à développer son propre univers.
    Bien que l’histoire soit constamment en train de s’égarer en cherchant son chemin, il s’y crée alors un sentiment d’incertitude plutôt réussi (qui, spoiler, n’aboutira a rien).
    Le personnage de M. Kamoda s’est déjà fait arnaquer un fois, et on ne peut s’empêcher de se mettre à sa place. Il reste pourtant naïf et s’embarque dans une autre histoire.

    D’un côté, ça aurait pu fonctionner, une histoire basée sur l’incertitude, ce genre d’histoire dont ne devine pas la fin.
    Sauf que, mis à part son atmosphère prête pour une bonne histoire, ce manga est vide.
    Il ne se passe strictement rien, ça cause, ça fait deux trois trucs, et puis ça recause.
    Tout ça juste pour mettre en place le second tome. Il est fort probable que ce dernier soit bien meilleur, mais en général, les gens lisent les livres dans l’ordre, ce premier tome est donc mauvais. Histoire qui ne sait pas trop où aller, intrigue faible.
    Genre, il leur faut quarante pages pour expliquer comment vendre une contrefaçon de tableau du Louvre et pouvoir payer ses emprunts.

    Les personnages sont globalement bien faits, surtout le mystérieux personnage du Signe des rêves avec un costume élégant et un dentier énorme qui lui est un des meilleurs personnages avec son caractère singulier et sa personnalité étrange (et aussi une relation avec Mitterand, mais c’est autre chose…).

    Quant à M. Kamoda et sa fille, Kasumi (qui ressemble à Boo dans Monstres et Cie), ils sont insupportables ! Ils passent leur temps à acquiescer des explications que le lecteur a déjà compris, et à dire « mé nan en fait ah dakor jé kompri ».

    Le tout, joint à des illustrations de faible qualité.
    Les personnages sont correctement dessinés, surtout le personnage de Mitterand qui est étonnement ressemblant à l’original.
    Mais les décors…

    Ils sont délavés, ont l’air en carton et sont surexposés comme pour les cacher, ce qui retire beucoup de profondeur au manga.

    « Le signe des rêves » est un manga tout simplement décevant qui s’oublie en un rien de temps, mais qui aurait pu être réussi.

    Bon, je vous laisse, je vais regarder des publicité sur TF1.

    • donzelotaimie sur 17 mars 2019 à 14 h 26 min

    Je suis désolée mais je n’est pas pu terminer ce manga. Je me suis arrêtée avant la fin car il ne m’intéresse pas du tout !
    Mais déjà je peux vous dire que je ne recommande absolument pas ce manga !
    Ce livre est très agaçant, les personnages répètent tout le temps la même chose.
    Au début « ça passe » mais, au bout d’un moment, ça devient très énervant.
    Je peux imaginer que le mangaka aime beaucoup la France et il a peut être voulu lui rendre hommage avec le musée du Louvre mais le problème c’est qu’il a mis beaucoup trop de clichés et de manières de la France dedans. Cela peut être désagréable pour certaine personnes et lecteurs.
    Certains clichés ressortent comme les pains au chocolat (ou chocolatines) trempés dans du café au lait …(etc.)
    Par contre le père et la fille sont des personnages qui deviennent attachants au fil de l’histoire.
    Un autre problème est que le début de l’histoire est incompréhensible !
    L’histoire commence avec une famille de personnes moyennement pauvres, dont le père (qui veut a tout prix trouver des signes pour s’en sortir) et la mère travaille dans une usine de caoutchouc (claquettes en caoutchouc) mais des impayés fiscaux paraissent à leur nom et ils perdent tous leurs biens.
    Ils participent donc à un tirage de loterie et la mère gagne une croisière et elle en profite pour quitter le pays en laissant le père et sa petite fille au Japon.
    Puis le père et la fille rencontrent un corbeau qui les conduit jusqu’à un escot…
    Bref ils se retrouvent tous les deux à faire un choix difficile, le suivre ? ou l’ignorer ?

    • nantiatemma sur 2 avril 2019 à 17 h 02 min

    Je n’ai pas réellement apprécié ce manga qui pour moi n’est pas assez développé autant au niveau du scénario qui est plat, que des personnages qui sont banals. Pour moi seule la fille était intéressante et avait un minimum de personnalité et de caractère par rapport au père qui lui, était mou et ennuyeux.

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