Dédale

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Reika et Yôko, deux étudiantes, errent dans un gigantesque bâtiment, véritable dédale sans fin défiant l’imagination. Seul indice : un mystérieux message posé sur une table basse signé Tagami, un célèbre créateur de jeux vidéo, qui semble en savoir long sur cet endroit. Quelle est la nature de l’étrange lieu dans lequel elles errent ? Pourquoi Reika et Yôko sont-elles le seul espoir de l’humanité ?

31 Commentaires

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    • léaparsac sur 12 décembre 2016 à 13 h 00 min

    Dédale m’a beaucoup plus car j’ai trouvé super l’histoire de la vie qui « bugue ». Dès que j’ai commencé ce manga il m’a directement plu. Il y a une bonne atmosphère malgré ce qui se passe. Les deux filles, Reika et Yôko s’entendent bien entre elles.
    Le graphisme est bien et bien « développé ». Les personnages sont très bien dessinés.
    Dès que j’ai commencé à le lire, j’avais l’impression d’être dans l’histoire. Avec ce manga on n’arrête pas de réfléchir à la façon dont elles vont réussir à sortir de ce dédale sans fin.

    • Marie Parsac sur 15 janvier 2017 à 9 h 54 min

    Ce manga m’a ennuyé. Le scénario manque beaucoup d’action et le début est long ! Les personnages n’ont pas de personnalité très intéressante, je n’aime pas Yoko, c’est dommage. Je pense que si les personnages avaient un autre caractère, l’histoire aurait été mieux.

    • YannisTURGOT sur 19 janvier 2017 à 18 h 50 min

    Résumé :
    Reika et Yôko, deux étudiantes, errent dans un gigantesque bâtiment, véritable dédale sans fin défiant l’imagination. Seul indice : un mystérieux message posé sur une table basse signé Tagami, un célèbre créateur de jeux vidéo, qui semble en savoir long sur cet endroit.
    Quelle est la nature de l’étrange lieu dans lequel elles errent ?
    Pourquoi Reika et Yôko sont-elles le seul espoir de l’humanité ?

    Critique:
    Ce manga « survival » se démarque des autres par son genre. Il ne propose pas une version sanglante et angoissante d’une partie de survival « classique », comme Btooom! (Junya Inoue), King’s Game (Nobuaki Kanazawa) ou encore Mirai Nikki (Sakae Esuno) nous le proposent.
    Dans Dédale, nous suivons l’avancée de Reika et Yôko, deux étudiantes, qui tombent mystérieusement dans un gigantesque labyrinthe infini, un monde totalement différent dans lequel la logique que nous connaissons n’existe pas. Tout comme les deux personnages, le lecteur ne comprend pas la situation et voyage dans ces nombreux appartements dans le but de saisir les règles qui régissent cet univers.
    Et si la vie réelle pouvait « bugger » ?
    Reika et Yôko, les deux personnages principaux, sont différentes autant sur le plan physique que psychologique. Les réactions de chacune sont intéressantes : tandis que Reika semble prendre du plaisir à parcourir ce monde, Yôko reste terre-à-terre et incarne un peu plus la voix de la raison. Ces personnalités différentes des deux personnages contribuent à donner une touche d’humour à l’histoire.
    L’univers est un labyrinthe composé de nombreux appartements, dans lequel l’avancée de salle en salle, en résolvant des énigmes, s’apparente à un jeu vidéo : les personnages semblent devoir progresser selon une histoire propre, à la manière d’un RPG, initiée par le mystérieux message laissé par Tagami, un personnage inconnu qui semble en savoir long sur cet endroit. De plus, l’auteur glisse des clins d’oeil à plusieurs jeux vidéo, comme le Pac-monstre, référence au très célèbre Pac-Man, qui ici mange des salles au lieu de pac-gommes. Ce manga a tout pour plaire aux amateurs de jeux vidéo et d’énigmes en tout genre.
    Le dessin est propre et souvent abouti. Le nombre d’onomatopées est très limité et ne tourne pas à l’excès, pour ne pas gêner la lecture. Les prises de vue sont ingénieuses : l’auteur sait comment donner l’impression qu’une salle est immense, et arrive à plonger le lecteur dans ce monde, comme si nous étions dans la même pièce que les personnages.

    Pour conclure, je pense que Dédale est une véritable réussite. Il est intéressant, d’autant plus que son côté jeux vidéo m’attire encore plus. En le lisant, il donne envie de savoir la vérité qui se cache derrière ce labyrinthe, ce qui arrive vraiment à Reika et Yôko. Sont-elles en train de rêver ? Est-ce vraiment un jeu vidéo grandeur nature comme Reika le suggère ? Qu’est-ce que la « réalité de ce monde » ? Et du coup, qu’est-ce que le « vrai » monde ?

    • vaillantanais sur 23 janvier 2017 à 15 h 51 min

    Ce tome est vraiment génial, j’adore. Il y a du suspense, du mystère et puis j’aime beaucoup que cela soit des filles qui jouent aux jeux vidéos et se retrouvent dans ce monde

    • jeannedarckhalil sur 26 janvier 2017 à 9 h 43 min

    Dédale m’a vraiment captivé du début à la fin . En effet , étant un grand adepte de jeux vidéos , j’ai beaucoup apprécié ce concept de « bug de la vie réelle  » , j ai aussi aimé suivre la progression des personnages , d’énigmes en énigmes . De plus , les personnages étaient attachants et les dessins , superbes . Ce livre contenait aussi une part de comique , selon moi indispensable à tout bon manga .
    En résumé , j’ai littéralement été séduit par cette première partie , son atmosphère étrange mais fascinante et j’attends la suite avec impatience .

    • jeannedarcgaia2 sur 27 janvier 2017 à 16 h 49 min

    J’aime bien ce manga mais je n’ai pas vraiment compris pourquoi Reika et Yôko sont si différentes. Je trouve que les traits de dessin accentue Reika qui est plutôt jolie alors que Yôko est plus grosse. Certes, l’histoire est un peu longue à démarrer mais une fois plongée dedans je n’arrivais plus à m’en sortir. J’aime ce coté de mystère autour de  » la réalité de ce monde « . On y retrouve aussi toute sorte de jeu videos comme ce monstre qui mangent les salles abîmées qui m’a beaucoup fait penser à Pac-Man.

    • Tom.G Turgot sur 28 janvier 2017 à 11 h 08 min

    Dédale est le premier manga de Takamichi, mais est aussi une belle référence mythologique. Eh oui le titre du manga n’est pas anodin, Dédale est un personnage de la mythologie grecque, célèbre pour l’invention du labyrinthe où vit le Minotaure. Le ton du manga est donc pré-défini, on peut déjà entrevoir les thèmes principaux du manga qui sont : le survival, le fantastique et le suspense.
    Au début de ma lecture de Dédale je n’avais pas vu la référence mythologique pourtant peu dissimulée par l’auteur. Car en effet on retrouve toutes les pièces importantes du mythe de Dédale et du Minotaure. Ce dernier est représenté par des monstres, les personnages du mythe quand à eux sont transfigurés par ceux du manga. L’auteur a réussi à moderniser le mythe du Minotaure, à le rendre plus simple à aborder, grâce à l’aspect visuel apporté par le manga.
    Parlons donc des dessins. Ce manga parle d’un labyrinthe, donc l’auteur a dû faire un travail énorme sur les décors, et ça se sent. De plus, l’auteur ne laisse aucun petit détail au hasard. Tout, dans ses planches, a un sens. Une table qui traîne ? Elle aura un sens dans quelques pages. Ensuite le découpage des cases et le positionnement des bulles sont appropriés et les expressions des personnages sont claires, pas besoin de se creuser la tête pour déchiffrer les expressions des héroïnes.
    Les héroïnes ! Un autre point fort du manga, ce sont deux « geek », pas forcément très sociables, avec des personnalités fortes et très opposées ainsi que des caractères design osés. De plus elles sont presque opposées en tout, par leurs personnalités certes mais aussi par le physique, leur manière de vivre….
    Reika, elle, est fan de jeux vidéo, elle aime en trouver les bugs et les exploiter, elle est éprise de liberté et les bugs l’aident à s’évader. Pour elle, être enfermée dans ce labyrinthe est presque une bénédiction qui rompt la banalité de la vie réelle. Elle parait moins mature que sa coéquipière, c’est la touche de folie du manga.
    Yoko, elle, est aussi un fan de jeux vidéo, mais elle est plus calme, plus posée, elle réfléchit plus aux conséquences de ses actes, elle est plus mature. Être dans le labyrinthe est pour elle un calvaire, à cause de ça elle a tout laissé en plan, tant sa vie professionnelle que sa vie sentimentale, elle est la touche sérieuse du manga.
    Tandis que l’une veut percer les secrets du labyrinthe et y rester, l’autre veut s’en évader. Ces deux personnages aux personnalités très différentes, se complètent très bien en tant qu’équipe.
    Pour conclure, Dédale revisite bien l’histoire du Minotaure. En le rendant plus moderne, plus simple à lire, à comprendre et plus attirant grâce aux dessins, et à des personnages hauts en couleurs. Le manga qui se veut tout de même sérieux s’autorise quelques touches d’humour bien senties. Le mélange est rafraîchissant, pas novateur, mais donne tout de même un très bon manga.

    • lussacmarylou sur 3 mars 2017 à 14 h 56 min

    Commençons par le commencement: la première chose que l’on voit quand on se saisit d’un manga (ou de toute autre chose, en fait) c’est son apparence.
    Quand je me suis plongée pour la première fois dans le bac du prix manga’titude, celui-ci m’a tout de suite attiré l’oeil: son nom, « Dédale », évoque pour moi un casse-tête insoluble et la mythologie grecque. Pour ce dernier point, le scénario présente une revisite légère de la véritable histoire mythique. En revanche, la couverture m’a promis une bonne dose d’illusions d’optique.

    Le casse-tête, lui, est arrivé dès le début de l’histoire. Pour tout apprécier de celle-ci, j’ai dû (et je n’espère pas être la seule) recevoir un petit débriefing du jeu vidéo car je ne gérais pas très bien le vocabulaire « jeux-vidéastique » ! Malgré cela, l’histoire est d’une inventivité fabuleuse; elle est complexe mais compréhensible, exactement comme un casse-tête…
    L’intrigue tourne autour de plusieurs questionnements: qui est le mystérieux correspondant ? Que doivent faire Reika et Yôko ? Que font-elles dans cet endroit ? Mais surtout, quel est cet endroit ? Reika apporte progressivement des réponses à ces questions grâce à sa façon d’approcher et de comprendre le monde différemment, une différence qui lui permettra peut-être de sauver l’humanité, qui sait ?…

    Parlons maintenant de l’aspect technique: le dessin. Si ce manga me plait autant c’est, notamment, pour la raison suivante: les personnages présents sont peu nombreux et tous différents, autant intellectuellement que physiquement; il n’y a pas de « profil type », comme on le trouve souvent.
    Reika, qui est notre personnage principal, est représentée petite mais ses expressions la grandissent et
    la rendent vivante: sa fierté mais surtout son courage sortent littéralement du papier. Yôko est certes, enrobée mais elle se sent bien dans son corps et cela se voit.
    Le bâtiment principal est un casse-tête à lui tout seul et on s’imagine très bien se perdre dans ce dédale de pièces et d’escaliers qui finalement n’est pas si illogique que cela…
    Je terminerai par les paysages qui sont tous plus grandioses les uns que les autres et l’utilisation de plans larges sur ces paysages accentue cet effet. Je pourrais citer par exemple cette superbe scène où Reika prend son bain dans la baignoire extérieure avec vue sur la forêt vierge… j’avoue que je suis un peu jalouse ! Ce moment apporte du reste une pause méritée dans la suite des actions du récit qui s’enchainent à une vitesse folle.

    De manière générale, ce manga apporte une superbe vision de la différence et montre que celle-ci peut être un atout puisque Yôko tente toujours de trouver la sortie alors que Reika est à son aise dans ce nouvel environnement dont elle comprend tout les mécanismes.
    Un tout petit bémol cependant: le résumé ne concorde pas très bien avec ce premier tome. Mais ce problème assez insignifiant se perd dans l’intrigue très prenante et la magnificence du dessin et surtout des paysages, le gros point fort de ce manga selon moi.

    • LycéeArsonval.Leonardo sur 6 mars 2017 à 21 h 34 min

    Dédale est un seinen de Takamichi qui parut le 6 juillet 2016.Ce manga a un style graphique très particulier au niveau des personnages. Par exemple les personnages ne sont pas très détaillés je trouve contrairement aux arrières plan qui eux regorgent de détails. Nous le remarquons d’ailleurs très bien sur la couverture qui là aussi a des détails sur l’arrière-plan juste magnifiques. Au niveau de l’histoire je la trouve juste parfaite, car celle-ci est très bien montée avec un sujet qui touche en général les lecteurs de par sa thématique mais aussi (vers la fin) de par les personnages dans lesquels on peut s’identifier. Pour finir sur l’histoire je trouve qu’elle est bien montée car ce ne sont pas des personnes ordinaires qu’on suit, en effet ces personnages connaissent déjà bien le milieu dans lequel elles sont c’est-à-dire un monde buggé.

    Ce manga m’a beaucoup plu et beaucoup touché, en sachant que son style graphique et son histoire sont géniales je ne vois donc pas d’inconvénient à vous le conseiller. Je pense que ce manga peut être lu par un large public mais avec un avertissement pour les plus jeunes.

    • freyssinetsebastien sur 7 mars 2017 à 12 h 49 min

    Ce que j’aime bien dans le manga Dédale, c’est l’univers du jeu vidéo et le suspense qu’il y a. En effet quand Reika et Yoko se perdent dans le bâtiment du jeu vidéo et trouvent un message mystérieux posé sur une table ronde, ça provoque un étonnement chez le lecteur. A chaque fois qu’elles croisent une table ronde, le papier y est posé et plusieurs créatures de jeu vidéo mangent le bâtiment.
    A la fin, le message leur permet d’accéder à un portail et ce premier tome se termine là-dessus, laissant le lecteur sur sa faim.
    Article écrit par Freyssinetcorentin.

    • Turgotsarah sur 7 mars 2017 à 13 h 34 min

    Dans ce manga, qui est basé sur les jeux vidéo, il n’y a pas assez d’action et la personnalité des personnages est plate . Habituellement j’aime beaucoup ce genre de manga, mais là je n’ai pas du tout aimé sûrement par l’aspect du lieu où il se trouve.

    • NantiatVictoria sur 8 mars 2017 à 13 h 07 min

    Je n’ai pas vraiment aimé ce manga. Je pense qu’il est plus fait pour les personnes qui aiment les jeux vidéos. Dans ce manga c’est comme si le monde où se trouvent les deux personnages « beuguait ». Par contre j’ai bien aimé le système des tables rondes, tout ce qui était posé sur une table se retrouvait sur la suivante. Je ne sais pas s’il y a une suite mais je ne la lirai pas, je n’ai pas vraiment accroché sur ce mange.

    • TurgotRémi sur 8 mars 2017 à 16 h 45 min

    Mon avis est plutôt mitigé à propos de Dédale. D’habitude, j’aime bien les mangas basés sur l’univers des jeux vidéo, mais là, je n’ai pas du tout accroché, je ne sais pas pourquoi… J’ai trouvé le début très long et l’intrigue met du temps à s’installer. Pour ce qui est des dessins, je les trouve sympas. Le suspens donne quand même envie de lire la suite. D’un point de vue général, je n’ai pas vraiment apprécié ce manga, mais je lirai quand même la suite pour savoir ce qu’il se passe.

    • Turgotraphael sur 8 mars 2017 à 17 h 42 min

    Le scénario manque un peu d’action et le début est long mais il est quand même intéressant grâce au mystère qui plane. Sont-elles en train de rêver ? Qu’est-ce que la « réalité de ce monde » ? Et du coup, qu’est-ce que le « vrai » monde ? Le défaut principal de ce manga est, selon moi, que le danger n’est pas assez présent, j’aurais préféré une présence plus oppressante comme une épée de Damoclès.

    • nantiatmaëlle sur 10 mars 2017 à 9 h 55 min

    Ce manga ne m’a pas vraiment plu mais l’histoire entre la vie normal et le jeu vidéo est original, intéressante et il y a du suspense, mais au début j’ai eu du mal à suivre l’histoire. Les dessin son très agréable.

  1. Manga vraiment très agréable à lire !! Les deux filles ont un humeur super agréable ce qui détonne un peu dans un sens avec leur environnement et c’est ça qui est bien !
    J’ai vraiment envie de lire la suite !!! C ‘est une pépite.

    • loewy-lycee-Pia sur 20 mars 2017 à 18 h 03 min

    Dédale est un manga « survival » qui raconte l’histoire des deux jeunes adultes qui se retrouvent dans une dimension parallèle labyrinthique. Ce manga est assez bien dans l’ensemble. Il présente une idée scénaristique qui reste plutôt originale, suivant le registre dans lequel il s’inscrit.

    Ce seinen est très intéressant dans le sens où il reprend les principes des survival horror dans un monde parallèle, qui se trouvent être un gigantesque labyrinthe. Le monde est totalement vide de population et immense, avec des monstres qui le parcourent ; ainsi une ambiance oppressante s’en découle et fait suffoquer le lecteur. Pourtant, le côté « horreur » n’est pas assez exploité : trop de bons sentiments et pas assez de peur ressentie par les protagonistes, ce qui est dommage car les réactions manquent presque de crédibilités. Le lecteur n’a pas peur en le lisant et cela fait encore perdre du réalisme à un scénario qui au début était pourtant bien construit.

    Par la suite, au fur et à mesure que l’histoire avance, le lecteur peut se perdre dans les éléments totalement irréalistes qui s’y produisent et qui parfois sortent l’histoire de son contexte et de son but.

    La dystopie dans lequel s’inscrit ce manga est similaire à celle du film « Labyrinthe » (par Wes Ball). En effet, les deux histoires se ressemblent beaucoup avec la référence à un endroit inconnu et à des monstres.

    Malgré ces quelques points négatifs on peut noter que les personnages féminins sont montrés comme forts et intelligents, ce qui n’est pas forcément le cas dans les « survival » en général. Ce manga est assez original et graphiquement beau -des perspectives à point de fuites très bien faites- ce qui « sauve » le manga face à ses points négatifs.

    Je conseille ce manga car il est plutôt agréable à lire et les dessins sont simples à comprendre.

    En conclusion, un manga assez sympathique malgré quelques erreurs de scénario qui font perdre crédibilité et but à l’histoire.

    • chabrolvanina sur 24 mars 2017 à 13 h 03 min

    Le manga ne m’a pas plu, le monde des jeux vidéo n’est pas mon style du tout, mais les deux personnages principaux sont biens, jolies et gentilles, et le manga m’a vraiment irrité car je n’aime pas me perdre dans des endroit inconnus et encore moins dans un endroit sans fin !!!! Bon… ceux qui aiment les jeux vidéo je leur conseille ce manga.

    • chabrolmaina sur 24 mars 2017 à 13 h 03 min

    Dédale est un super manga. L’intrigue est géniale et le dessin est propre et soigné. On se plonge vite dans l’histoire et les héroïnes sont très attachantes et on suit bien l’histoire en même temps qu’elle. J’ai hâte de lire la suite et je vous le conseille.

    • saintjeanceline sur 26 mars 2017 à 12 h 17 min

    Je trouve ce manga pas mal, c’est vraiment bien pensé de la part de l’auteur de pouvoir imaginer un monde sans fin en parallèle avec le monde réel. Ce manga demande beaucoup de réflexion, on voit bien que ce monde est bien adapté à Reika, on voit qu’elle est plus à l’aise dans ce dédale qui ressemble à un jeu vidéo que dans le monde réel. Par contre, pour Yoko cette endroit est plus un enfer et on voit bien qu’elle est pressée de retrouver la vie normale. Nous avons ici deux personnages principaux complètement différents et qui ne pensent pas pareil : Reika paraît être tout le temps dans la lune et n’a pas le sens du danger mais en réalité elle est consciente de la situation, intelligente et essaie de résoudre les mystères de ce dédale; Yoko est une fille plus classique, qui panique vite (je trouve qu’elle représente la personne normale à travers les réactions qu’aurait eu une personne normale dans cette situation). Ces deux personnages sont très attachants compte tenu de l’histoire qui ne tourne qu’autour d’eux. Le suspens nous donne envie de lire la suite pour voir ce qui va arriver à ces deux personnages et connaître l’origine de ce dédale.

    • NantiatLoucas sur 30 mars 2017 à 10 h 50 min

    J’ai bien aimé ce manga car il parle de quelque chose que je connais pas mal (les jeux vidéos). L’histoire n’est pas trop mal bien qu’un peu dure à comprendre mais une fois dedans elle devient simple. L’histoire met en valeur les aspects techniques des deux chercheuses de bug qui vont parcourir un immense labyrinthe afin de retrouver le créateur d’un jeu qui est lui aussi coincé dans ce monde parallèle.

    • chabrolpierre sur 4 avril 2017 à 7 h 11 min

    Ce manga est vraiment super ! L’histoire est originale et le suspens est présent tout au long du récit. Les personnages sont cools et sont différentes l’une de l’autre ce qui entraîne parfois de courtes disputes (l’une veut explorer et l’autre veut partir au plus vite). Je veux vraiment connaître la suite et j’essayerai de trouver les autres tomes.

    • freyssinetsebastien sur 4 avril 2017 à 11 h 42 min

    Dedale
    L’histoire se passe dans un monde virtuel : le paysage est semi-forestier,semi-urbain, ce qui rend l’apparition de créatures possible et les monstres sont très bien faits.
    Les personnages principaux sont Reika, qui adore l’aventure, et Yoko, qui se pose beaucoup de questions. Elles discutent avec Tagami ( créateur de Dungeon Tale) par le lien d’un ordinateur.
    Les dessins sont très sympas, l’histoire se suit et il y a de l’action et du suspense à chaque fin de chapitre. Dedale respecte les règles du Shônen parce qu’il y a de l’aventure et de l’action et c’est le genre que je préfère.
    J’aime beaucoup l’histoire, cela m’a donné envie de lire le tome 2 !

    • freyssinetmanon sur 4 avril 2017 à 11 h 46 min

    J’ai vraiment apprécié ce manga, son design est géométrique et précis, son scénario riche, inventif et surprenant m’a séduite. Les personnages ont été très bien développés par le mangaka, que ce soit par leur physique ou leur caractère, je suis tombée sous le charme des deux protagonistes. La jeune Reika est une fille toute fluette aux longs cheveux noirs, sa joie de vivre et son entrain imaginatif cachent en fait une force mentale incommensurable. A l’inverse, Yoko est une femme plutôt forte, à la bouche imposante. Elle panique facilement malgré son physique massif. La jeune aventurière Reika s’est très vite adaptée à son nouvel environnement dan lequel elle s’épanouit. Yoko, qui a longtemps douté des capacités de Reika, finit par lui confier sa vie. Ces filles sont très attachantes, enfermées dans ce monde aux mille mystères.
    Les décors sont magnifiques, les différentes ambiances proposées dans ces mondes nous subjuguent malgré le peu de détails. Le noir et le blanc sont bien contrastés, quant à la mise en couleur elle est juste époustouflante ! Les jeux de lumière donnent vie aux personnages, les couleurs sont d’une excellente qualité et très chatoyantes. Le sujet de cette oeuvre est très recherché. S’il y a un seul bémol à donner, c’est que la fin n’est pas à la hauteur de nos espérances. Mais malgré tout, cela reste mon livre préféré de la sélection !

    • vaillantcamille2 sur 7 avril 2017 à 20 h 35 min

    Je trouve ce mange vraiment intéressant, les graphismes sont très bien réalisés les deux personnages ne se ressemblent pas du tout autant sur le plan physique que psychologique, mais malgré cela elles se complètent.

    L’ambiance est vraiment bien représentée, on se demande vraiment ce qui se passe, l’effet jeux-vidéo sans fin, sans issue est génial.

    Mais ce manga a tout de même des points négatifs, le premier est que les deux personnages ne résonnent pas de la même façon, Yoko est la voie de la raison tandis que Reika veut plus partir à l’aventure, et c’est cela qui me dérange. Son comportement n’est absolument pas naturel et à mon sens cela la décrédibilise immédiatement.

    Je dirais également que même si l’histoire est captivante, on a du mal à tout comprendre, à rentrer complètement dans l’histoire.

    • Coline Parsac sur 10 avril 2017 à 11 h 55 min

    J’ai adoré !!!! Franchement super manga, l’histoire est très intéressante et donne très envie de continuer à lire la suite (d’ailleurs c’est ce que j’ai fait et je le conseille aux personnes qui ont aimé le premier tome !!!) Les personnages sont plutôt bien fait et très attachants ! Les graphismes sur les paysages font vraiment penser à des paysages de jeu vidéo ! L’atmosphère générale est plutôt cool sauf dans les moments où elles croisent les monstres à ce moment là, l’atmosphère est tendue.

    • fabiennadaud sur 11 avril 2017 à 11 h 23 min

    Ce manga m’a plu car il assume son concept de s’inspirer du monde des jeux vidéo qui est très intéressant. Il n’hésite pas a faire des références pour les connaisseurs en jeux vidéo: la référence au pied de biche ainsi que pour les moins intéressés qui reconnaîtront quand même pac-man. Les personnages sont très sympathiques mais aussi intriguants et mystérieux pour certains. Les personnage sont au nombre de trois dont un qu’on ne voit pas.

  2. Alors déjà bonjour a tous haha. Pour commencer, Dédale est un manga qui ne m’inspirait pas trop de par sa couverture, mais comme on dit, il ne faut pas se fier aux apparences mdr, alors je l’ai attaqué et c’était pas facile au début vu qu’il ne faisait pas envie ( je discriminais le livre à l’époque, le pauvre) , mais j’ai fait abstraction des différences et je l’ai lu, du coup au début c’est pas mal, vous voyez le genre série platonique, puis ensuite en avançant un peu j’ai remarqué que l’auteur était perché. Attendez,il nous fait débuter l’histoire en nous faisant croire qu’on est dans un monde réel alors que c’est un plagiat avec des monstres qui ressemblent a bibendum en mode fondus, mdr j’espère que t’as suivi car c’est pas facile. Ensuite nos deux petites héroïnes se baladent dans leur petit bâtiment qui n’a ni queue ni tête qui est un peu tordu. Ensuite elles trouvent comme par magie une manette du Playstation move mais elles ne s’en servent pas ( mais POURQUOI l’avoir pris bon sang ?? ).Bref tout ça pour dire que ce livre a bien son monde, avec deux personnages qui on leurs opposer bien a eux. Les critiques sont au dessus dans le texte alors si vous avez des questions n’hésitez pas.

    • 19clgcabanis sur 13 avril 2017 à 12 h 50 min

    Dédale ou 百万畳ラビリンスou Hyaku man-jō rabirinsu .
    Seinen écrit par Takamichi, publié en juillet 2016 au lieu de 2013/2014. Ce manga n’a pas été adapté en animé.
    Synopsis :
    Cette histoire parle de deux filles (Reika et Yoko) qui ont une personnalité très différente l’une Reika est tête en l’air, spéciale et l’autre est enrobée, terre à terre, presque craintive.Ces deux filles sont colocataires.
    Un jour, elles se retrouvent perdues dans un immense bâtiment inconnu un véritable labyrinthe en tatamis et sans même savoir s’ il y a des habitants. Au fur et à mesure de l’exploration, elles découvrent que ce bâtiment ou même ce monde est parallèle au leur. Elles trouvent au cours de cette exploration un message sur un table basse, leur seul indice sur ce monde inconnu.

    Les points forts de ce manga :
    – Les retournements de situation,
    – Il y a beaucoup de suspens : durant tout le tome on se demande comment les héroïnes vont parvenir à se sortir des situations difficiles
    – l ‘écriture est soignée, tout comme la qualité du dessin

    Les points faibles :
    – La difficulté que peut avoir le lecteur à se plonger dans l’histoire au début
    – les termes employés peuvent être difficiles à comprendre pour les lecteurs qui n’ont pas de culture de jeux vidéos et pour les non-gamers.

    Clgcabanisquentin.

    • vaillantthyller sur 3 mai 2017 à 15 h 13 min

    Saluuuut,
    Bon je vais être honnête j’ai pas du tout aimé le manga. Franchement j’ai pas accroché et j’ai mis beaucoup de temps à le lire, je pense que c’est l’histoire parce que je suis plus habitué à du Fairy Tail, Vampire Knight, etc, et je n’ai pas accroché dès le début de ma lecture. Après, il y a des points forts (heureusement) les dessins sont agréables à regarder, les personnages sont attachants et assez drôles, et l’histoire est bien trouvée mais bon après c’est pas mon style de manga.

    • chabroltony sur 9 mai 2017 à 12 h 05 min

    Je trouve que Dédale est une histoire prenante avec de belles images, une histoire passionnante et des personnages uniques surtout Reika qui ne semble pas avoir les mêmes pensées que tout le monde et elle à l’air de se moquer de sa propre vie tant qu’elle s’amuse et qu’elle découvre de nouvelles choses. Je qualifierai le manga, d’un manga type « aventure » mais sans ce côté sanglant qu’offre d’autres manga comme « Mirrai Nikki ». Dédale porte bien son nom car en français dédale signifie « Lieu où l »on peut s’égarer; labyrinthe » (Définition prise sur Larousse.fr), ce qui représente bien le manga car le monde est un labyrinthe sans fin où toutes les pièces se ressemblent et sont liées entres elles. Les « choses » qui y habitent, sans donner de nom pour ne pas spoil ce qui n’ont pas lu le manga. Pour ma part le premier tome était tellement bien que je n’ai pas pu n’empêcher de lire le deuxième que je vous conseille vivement. Pour conclure, je dirai que le mélange des personnalités de Reika et Yôko, sans compter Tagami, avec les dessins, les angles de vues, les monstres et le « monde » font de Dédale un des meilleurs manga de la manga’titude de cette année 2017.

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