Lors du récent pic de pollution, la moitié des particules fines était issue à la fois des activités agricoles et des transports, plongeant une bonne moitié de la France dans une brume irrespirable.
Paris dans un nuage de pollution, le 26 mars 2012. DUCLOS/SIPA
(source : www.20minutes.fr)
Les causes de cette brume
51% de la pollution est produit par les activités agricoles, alors que 44% sont produits par le trafic automobile. Le reste correspond au chauffage utilisé par les Parisiens.
L’air vicié en Ile-de-France ne venait probablement pas d’Allemagne
Le président d’Airparif affirme que l’épisode de pollution qui a touché la région parisienne n’est pas du aux centrales de charbon allemandes mais bien aux émissions d’échelle nationale.
Mais heureusement
On peut toujours se consoler en rappelant que, selon l’OMS, Paris et sa région sont très loin des records de pollution enregistrés dans d’autres agglomérations du monde.
En savoir + : Le Figaro (25/03/2014)
Léa, Nina
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