Récemment la société PANZANI a annoncé avoir trouvé de la viande de cheval dans plusieurs de ses boites de raviolis. Certains français qui ont acheté ces aliments auraient donc consommé du « cheval ». Quelles répercutions cela a-t-il?
Mardi 19 février, la société PANZANI a annoncé avoir trouvé de la viande de cheval dans plusieurs de ses boites de raviolis fabriqués par la marque WILLIAM SAURIN. Les produits concernés ont été immédiatement retirés de la vente. Les consommateurs réagissent très mal à cette annonce, ils se demandent comment cela a pu se produire, comment ils pourraient avoir confiance et savoir ce qu’ils mangent à présent.
Cette annonce a fait scandale, et ternit l’image de la marque WILLIAM SAURIN.
La présence de viande de cheval a été découverte lors des tests effectués la semaine dernière, à l’initiative de PANZANI. La société a précisé que WILLIAM SAURIN, à qui ils avaient confié depuis 13 ans la fabrication de ses raviolis, a été victime d’une tromperie de la part d’un de ses fournisseurs.
Une enquête a été ouverte, même si la viande de cheval ne représente pas de danger pour l’homme. Elle représente deux fois moins de calories que la viande de boeuf, ce qui est plutôt une bonne nouvelle pour ces demoiselles. Elle apporte plus de protéines, cinq fois moins de lipides, huit fois moins d’acides gras saturés, elle contient de l’oméga 3 et de l’oméga 6. La viande de cheval apporte plus de fer et moins de zinc. Manger du cheval n’est donc pas mauvais pour la santé. Mais les consommateurs ont le droit de savoir ce qu’il absorbent.
Emma BRISSAY (3ème)