13 réflexions sur “Grossir le ciel

  • Pouchol

    J’ai bien apprécié ce livre, j’ai trouvé l’histoire très intéressante, moi qui n’aime pas ce genre d’histoire, je n’ai pu lâcher le livre qu’après l’avoir terminé.
    La façon dont certains passages sont écrits est très violente, ce qui souligne les événements qui s’y déroulent.

    Répondre
  • Lagarde Charlie

    J’ai eu du mal à lire ce roman, je l’ai trouvé assez lent, je n’ai pas réussi à me plonger dans l’histoire. Il y avait trop de descriptions et d’ellipses qui n’apportaient pas forcément grand chose à l’histoire, et qui faisaient que je me perdais facilement dans le cours de l’histoire.
    C’est triste à dire, mais la seule chose qui m’a plu, étaient les personnages du début, que j’ai trouvé attachants.

    Répondre
  • Ville Alexandre

    Je n’ai pas trop aimé ce livre : je n’en ai lu que la moitié.
    Le début stagnait trop à mon goût, j’avais l’impression que l’histoire ne progressait pas (on m’a dit que ça avançait vers la fin mais je pense qu’on devrait accrocher dès le début.).
    Les descriptions étaient lourdes et participaient selon moi à ralentir l’histoire.
    Néanmoins, Le personnage principal, Gus, était très attachant de par son passé et j’ai été surpris par l’évocation soudaine de la violence de sa relation familiale.
    Peut-être qu’avec un peu de motivation, j’aurais pu terminer ce livre, mais ç’aurait été forcé.

    Répondre
  • Quintanilla

    Ce livre a plusieurs points positifs et négatifs.

    Dans ce livre les personnages sont attachants et il y a un bon retournement de situation. Il y a des éléments de surprise, le lieu « Les Doges » est attachant.
    C’est dommage car le début du livre est lent et ennuyant, il faut lire plus de 100 pages avant de rentrer dans ce livre. Il y a des descriptions inutiles et trop de dialogues.
    Sinon le livre est plutôt agréable et bien écrit.

    Répondre
  • Moreau

    Nous avons eu du mal à lire ce livre car l’histoire est trop lente. C’était compliqué de rentrer dans l’histoire. Il y a trop de descriptions et c’est trop répétitif. On trouve qu’il manque quelque chose. Les personnages ne sont pas attachants.
    Cependant certains passages restent émouvants, la mort du chien par exemple… L’ambiance est glauque, ce qui donne un certain aspect intéressant au livre.
    Cordialement:
    View Tristan et Amaranthe

    Répondre
  • RAVEL Rémy et CHERBOUQUET Emma

    Tout d’abord, c’est un livre récent, le langage est plus courant que les livres que l’on nous fait lire habituellement et donc plus adapté à notre époque. Mais malgré cela, il est vraiment difficile à comprendre et à lire à cause du début, beaucoup trop lent et pas du tout accrocheur. Ce livre est très touchant au moment où le chien meurt mais très triste et très glauque.
    En conclusion je n’ai donc pas aimé ce livre.

    Répondre
  • BERGER

    Je n’ai pas aimé ce livre je l’ai trouvé trop répétitif. Malgré des personnages attachants, surtout le chien. On n’entre pas directement dans l’histoire, ce qui nous fait perdre le fil et la progression est assez lente. Un vocabulaire peu compréhensible rend la lecture difficile.
    Léo et Théo.

    Répondre
  • Jean-Favard / Louis / Louis

    Frank Bouysse met en place une chute très travaillée avec la révélation finale. Paradis est un personnage à la personnalité contraire à son nom et Mars, le chien de Gus va être la cible d’un évènement touchant. Ce qui fait que ce quotidien banal devient une histoire trépidante. C’est donc pour ces raisons que j’aime ce livre et que je le conseille pour les autres lecteurs.

    Répondre
  • Favard Antoine / Clauss

    Grossir le ciel est un roman noir écrit par Franck Bouysse. L’histoire se déroule dans les Cévennes au lieu-dit des Dauges. On est plongé dans un cadre rural, plus précisément sur la vie d’un fermier nommé Gus. Gus vit paisiblement, il se lève tous les jours accompagné du calme de la nature, de son chien, de ses vaches, de ses tâches et travaux. Tout bascule et sa vie s’accélère quand l’Abbé Pierre décède. Des évangiles en pleine campagne, des rumeurs, et un voisin complice mais qui a des choses à cacher.
    Personnellement, je trouve que cette œuvre est marquante. On ne s’attend pas à ce que l’histoire à la campagne sur un paysan puisse prendre une telle allure et une telle attraction. Aussi le style est très prenant et est écrit avec soin. Les fausses pistes narratives embrouillent le lecteur et laissent trainer le suspense, l’intrigue. Les liens familiaux de Gus se révèlent petit à petit et on arrive à se former une image plus ou moins nette.
    Grossir le ciel est un roman qui plonge dans un univers très prenant. C’est un très bon roman noir qui prête à réflexion. Je le conseille plus ou moins pour tous les âges (minimum 13 ans).

    Répondre
  • FAVARD Clarisse Pannetier & Lilly Psalmon

    Grossir le ciel, écrit par Franck Bouysse, est roman noir sur la thématique de l’amitié et du milieu agricole.
    le livre est écrit à la troisième personne. L’histoire est située dans les Cévennes. Les personnages principaux sont Gus, Abel et Jean Paradis. Gus mène une vie tranquille dans les Doges, accompagné de son chien Mars. Mais, des traces apparaissent à proximité de sa maison, et de celle de son ami Abel.
    D’où viennent-elles ?!
    Ce qu’on a aimé dans ce livre est son style d’écriture : l’agencement des phrases donne un rythme très lent qui induit de la réflexion en parallèle de la lecture, mais il reste facile à lire ! Cependant, on relève aussi des points négatifs : on peut trouver le lien de parenté dès le début. De plus, on ne comprend pas le rôle des évangiles donc les références à la religion. On est très prises par l’histoire et on a du mal à s’en sortir après la lecture, notamment à cause du manichéisme des personnages.

    Répondre
  • Favard Ruadhri julien

    « Qui pouvaient en vouloir à Gus au point de tuer son chien ?  »
    Grossir le ciel est un roman policier de Franck Bouysse dans un univers de vieille campagne rude et vide de sentiment. L’auteur nous décrit le quotidien de Gus et Abel, deux paysans des Doges dans les Cévennes, entre le début de l’année 2006 et la fin du mois de Février 2007.
    J’ai beaucoup apprécié ce livre car la vieille campagne est un univers glauque où peuvent surgir des problèmes de tout sorte (familial, maladie, rivalités… ). Les deux personnages principaux, bien que rustiques, attirent la sympathie du lecteur voire sa compassion. Les divers rebondissements de l’histoire, comme les traces de pieds nus dans la neige, le comportement bizarre de mars et le mystère entre les défunts parents de Gus et Abel, alimentent la curiosité du lecteur et son attache au livre. Le début, d’après moi, est difficile à accrocher car il semble interminable et lent, ainsi que mou. Je dirais que ce livre est bien, je conseille de le lire absolument si ce n’est pas déjà fait car l’histoire est très originale.

    Répondre
  • Elisa Lesbats

    Au début, j’ai trouvé ce livre un peu lent, j’ai trouvé qu’il ne se passait pas grand chose de pertinent et j’ai failli décrocher. Je me suis dit que c’était juste la vie quotidienne d’un vieux campagnard banal, sans saveur. Mais plus j’avançais dans l’histoire, plus j’ai aimé, surtout les grosses révélations finales. Je trouve tout de même que c’est une bonne approche de mettre le plus gros de l’action à la fin pour inciter à continuer.

    Répondre
  • La synthèse des rapporteurs par Vincent et Benjamin

    – La lecture est facile car l’auteur utilise des mots simples, ce qui rend le texte accessible à tous.
    – Des mots simples, mais on peut quand même lire des mots compliqués. Ok, c’est accessible, mais c’est répétitif.
    – C’est parce que l’auteur veut installer une routine, pour mieux la briser.
    – Ça fait quarante ans qu’ils font les mêmes gestes nuit et jour, donc la routine n’est pas vraiment brisée…
    – La fin est vraiment inattendue, le récit laisse des traces.
    – Oui, mais il faut vouloir y arriver, avec ces descriptions qui n’en finissent pas !
    – Les descriptions sont magnifiques et nous donnent des paysages sublimes, elles décrivent bien chaque action et reflètent la réalité du monde paysan.
    – Ce livre est stéréotypé ! Ce n’est pas la réalité du monde paysan, sauf pour les gens des villes !
    – Si l’univers du livre est comme cela, c’est à cause de Gus, le personnage principal. Les personnages sont bien décrits, de sorte que l’on comprend pourquoi la vie de Gus est ainsi.
    – Ce n’est pas parce qu’ils sont bien décrits qu’ils sont attachants !
    – L’auteur sait faire passer les émotions qu’il veut : on déteste les personnages qu’il veut qu’on déteste et il donne aussi de la peine, comme à la mort du chien.
    – le chien est bien le seul personnage qui est sympathique, et c’est sûr que c’est le moins ennuyeux !
    – Même le chien est bien décrit. Et ce qui importe, c’est la description de cette immense et magnifique nature, elle est intemporelle.
    – Intemporelle, c’est sûr : quand tu commences une description, tu n’es pas prêt de la finir ! Regarde lorsqu’il trait la vache, ça dure des plombes ! Alors qu’avec une machine, ça nous aurait épargné le supplice !
    – Il faut du temps pour mettre en place une telle atmosphère où l’on ressent la solitude. Parfois, elle est malsaine et sombre.
    – En vrai, les histoires de consanguinité, ça intéresse personne.

    Répondre

Répondre à Ville Alexandre Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Afficher les mentions légales | Conditions générales d'utilisation | Aide à la rédaction du registre de traitement
Nom et adresse de l’établissement scolaire
LMB Felletin
Nom du directeur de la publication
Sébastien Perret
Nom du responsable de la rédaction
Béatrice Augeard
Nom et adresse du fournisseur d’hébergement
OVH 2 rue Kellermann – 59100 Roubaix