Le confinement : le dernier espoir de la planète ?

Comme vous le savez, le 17 mars 2020  marquait le début du confinement dû à l’épidémie du COVID-19… Nous avions des restrictions de sortie, des limitations, les supermarchés étaient pratiquement vides, la population était tendue et cloîtrée…Cette période très particulière a-t-elle eu des répercussions sur l’environnement ? A-telle  été bénéfique pour la planète ? Nous allons le voir tout de suite …

La baisse de CO2

Saviez-vous que la France a perdu 34% de CO2 et que le ciel est donc plus clair grâce au confinement ? L’Amérique a perdu 31 % de CO2 ; il en est  de même pour le Portugal qui a perdu un peu plus que 30 %, 23 % en Chine ; cela représente 17% dans monde . Ce chiffre peut nous paraître faible mais les scientifiques disent que juste avec 17 % de CO2 en moins nous avons déjà de l’air sain !

 Le confinement a permis de nettoyer l’air au-dessus du Népal et le mont Everest  est maintenant visible depuis Katmandou ce qui n’était pas arrivé depuis  40 ans. Avant le confinement,  le mont Everest était caché derrière un énorme  nuage de CO2 .  A Venise, une semaine seulement après le confinement , les eaux de la Cité des Doges  devenaient cristallines et transparentes. Il est vrai que  l’eau de Venise n’était pas jusque-là réputée pour sa propreté !… Quant à certains paysans creusois, ils vous diront :  » Le soleil ne nous brûle plus depuis le confinement !! »

La nature reprend ses droits

Avec le confinement, les animaux ont perdu l’habitude de se méfier  de l’humain.  On a pu voir des renards dans les parcs, des chevreuils sur la route marchant le regard  droit devant  eux et même un cougar qui n’a pas hésité à se montrer en pleine capitale chilienne ! 

Un groupe de chèvres sauvages dans une ville galloise. © Photo Andrew Stuart in Courrier International

C’est sûr le confinement, c’était une  « fête pour les animaux sauvages » selon un journaliste de FranceInter et les exemples ne manquent pas :   des chèvres sauvages dans les villes  au Royaume-Uni, des canards colvert en plein centre ville de Paris ou même en plein périphérique de Paris mais, cette fois, avec des canetons  !! Un groupe de paons dans les rues de Madrid , un sanglier sur une route de Barcelone… Tout ça entre  4 et 12  jours après le début du confinement !

Globalement, je pense que le confinement nous aide à comprendre qu’il faut absolument préserver  notre  planète. On s’émerveille de nouveau devant la beauté de la nature.  Le confinement nous a  empêché de sortir, de nous détendre ou de faire nos activités. Mais il  a permis aussi de baisser les gaz à effet de serre. Il enlève le stress aux animaux et conserve notre planète.

Camille

Sources : 20 minutes, Le Point, Le Parisien, Cnews (les meilleurs vidéos d’animaux pendant le confinement), Franceinter

 

2 commentaires sur “Le confinement : le dernier espoir de la planète ?”

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