Une marche pour la tolérance

Le mercredi 8 Novembre à Paris s’est déroulée une marche contre l’antisémitisme. Mais heu… Qu’est-ce que c’est,  l’antisémitisme ?

Paris le 12 Novembre 2023. Grande Marche citoyenne contre l’antisemitisme // Esplanade des Invalides. Source : Le Monde

Le mot antisémitisme a été forgé en Allemagne en 1879. Ce mot correspond à la doctrine disant que les Juifs nuiraient aux pays dans lesquels ils vivraient. On l’utilise maintenant pour désigner toute forme de racisme anti-juif alors qu’à l’époque il désignait seulement l’antisémitisme allemand.

Les Juifs sont un peuple qui a été longtemps persécuté : au Moyen Age, ils ont notamment été accusés d’être les porteurs de la Peste, régulièrement on organisait des pogroms (= massacre de Juifs). Ou plus récemment, au 20e siècle, les Nazis les ont  accusés d’être responsables de tous les problèmes et ont organisé le plus grand massacre de tous les temps : la Shoah. Depuis la création d’Israël,en Occident il y a une nouvelle forme d’antisémitisme qui est politique :  l’Occident accuse les Juifs d’être à l’origine des guerres avec les pays musulmans.

L’antisémitisme s’est ravivé ces derniers jours avec le retour de la guerre entre  Israël  et Palestine. De nombreux actes antisémites ont été recensés.  C’est pour ça qu’une marche a été organisée contre ces actes de discrimination.

Source : Universalis Junior en ligne (compte abonné) , Le Monde

Un article de Clémentine

Histoires au collège

Cette année, un nouveau cours voit le jour : le cours de lecture !!! Il n’est réservé qu’aux 6éme. Je vais vous expliquer en quoi il consiste !

Source : Magazine belles demeures

Dans ce cours, des professeurs de français nous lisent des livres. Pour ma classe, ce cours se déroule dans la salle 11, mais d’autres classes vont dans la petite salle de lecture qui a été aménagée près du foyer.

L’objectif, selon ma professeure, est d’inciter les enfants à avoir envie de lire. Pendant une heure, on écoute une histoire lue à voix haute.  C’est dommage que certains élèves ne soient pas sérieux car c’est un moment agréable.

Depuis le début de l’année, ma classe a pu s’entendre lire par Mme Dehan « Thésée et le minotaure » , « La création du monde selon les grecs » , « Prométhée » , « Vassilissa et la baba jaga » , « La belle au bois dormant » , « Blanche neige » . . .

J’aime bien ce cours qui nous permet de faire une petite pause dans les cours très sérieux. En plus , les livres lus sont vraiment intéressants et on est nombreux à attendre ce moment.

Élodie Vaillé

Le sondage spécial Noël 2023

Nous avons interrogé 100 élèves dans la cour pour savoir ce qu’ils aimeraient avoir comme cadeau  à Noël. Voici les tendances pour cette année, avec quelques surprises !

source:idboox

 

Les tendances 2023

Cela ne vous surprendra pas, ce qui arrive en tête,  c’est l’équipement connecté à Internet !  Sur 100 élèves interrogés, 38%  réclament… un équipement connecté ! Parmi les demandes, téléphone, ordi, tablette, montre sont des objets attendus.  C’est le téléphone qui reste en tête de liste des cadeaux les plus convoités avec 12%. Petite nouveauté, la montre avec 6%. 5% veulent des consoles de jeu vidéo,  5% un ordinateur et certaines personnes isolées veulent  un casque ou encore des écouteurs ou une tablette, un drone ou un MP3.

Deuxième tendance, la mode et l’apparence : 19% des personnes demandent des vêtements et des chaussures,  5% veulent des bijoux et du maquillage.

Troisième tendance : l’autonomie dans les achats. 12% demandent tout simplement de l’argent pour pouvoir acheter eux-mêmes leurs cadeaux.

Les jouets et les livres sont en perte de vitesse au collège, ça c’est très net ! 4 % souhaitent très fort un livre et 3 % seulement rêvent d’un jouet ( 1% un doudou  et 2% veulent des Lego).

Les surprises : certaines demandes révèlent un besoin d’amour et de partage !  Il y a 3% des élèves qui souhaitent avoir un animal (un chat, un chien, un cheval !) et  5% demandent carrément au Père Noël un amoureux  !!!

 

Les tendances par niveau :

On n’a pas les mêmes rêves à 11 ans qu’à 14 ! Mais enfin, ça se ressemble quand même un peu…

Les 6ème ne veulent pas d’argent, ils s’en moquent totalement, ils préfèrent encore jouer mais surtout se connecter  !

Les 5ème, eux,  commencent à s’intéresser à l’argent et toujours  au téléphone.

Les 4emes, eux, préfèrent tout ce qui est numérique (montres, tablettes, ordis, téléphones) et l’argent.

En 3ème,  ces « grandes personnes » veulent de l’argent, des PS5 et deux élèves rêvent d’une moto.

 

signé : Lana  & Eva

D’où vient la tradition du sapin de Noël ?

D’ici une semaine, chacun va préparer le sapin de Noël, une tradition que tout le monde respecte, quelle que soit sa religion. D’où vient cette habitude de faire entrer un arbre dans sa maison ?

Source image : Gamm Vert

C’est une tradition très ancienne

On retrouve des traces du sapin dès l’Antiquité. Entre 2000 et 1200 Avant Jésus Christ, ont parlait déjà de l’épicéa.C’était une tradition paiënne.

On considérait le 24 décembre comme la renaissance du soleil : les Celtes avaient adopté un calendrier basé sur les cycles lunaires et on sait qu’à partir de Noël les jours rallongent. A chaque mois, un arbre était associé et l’épicéa fut celui du 24 décembre.

Une tradition qui s’associe à la religion chrétienne

Il faut attendre le Moyen Age pour que cet arbre soit associé à la religion : on raconte qu’un moine évangélisateur Allemand de la fin du VIIe siècle, Saint Boniface, voulait convaincre les druides germains, des environs de Geismar, que le chêne n’était pas un arbre sacré. Il fit donc abattre un chêne.  » En tombant, l’arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage, à l’exception d’un jeune sapin « . A partir de là, il eut une légende. Elle raconte que Saint Boniface a qualifié ce pur hasard de miracle, et déclaré dans sa même prédication :  » Désormais, nous appellerons cet arbre, l’arbre de l’Enfant Jésus.  » Depuis, ce moment on plante en Allemagne de jeunes sapins pour célébrer la naissance de Jésus Christ.

Source photo : La Manche libre

 

Il faut quand même attendre le 12ème siècle pour voir la tradition du sapin réellement apparaitre en Europe, et plus précisément en Alsace. C’est en 1521 que pour la première fois dans cette région on appelle un sapin « sapin de noël ».  On ne le décorait pas encore de guirlandes mais de pommes,  de gâteaux, de confiseries.  Mais on n’oubliait pas de mettre l’étoile en haut du sapin car sa signifiait l’étoile de Bethléem, celle qui a guidé les Rois mages jusqu’à l’enfant Jésus.

Aujourd’hui, c’est juste une tradition festive

Enfin, aujourd’hui, presque tout le monde fait un sapin, sans l’associer à la religion. C’est un symbole de fête, de lumière et de cadeaux.

 

Sources : Noël vert / Histoire pour tous/TF1 Info

Signé : Perle 

La vie de jeune prof : M. Lacombe raconte son parcours

Cette année  nous avons un nouveau professeur, M. Lacombe. Nous l’avons interviewé et  lui avons posé des questions sur son parcours de professeur d’EPS. Il nous a dit comment devenir professeur d’EPS et nous a raconté ses expériences nouvelles avec les  élèves.

 

M. Lacombe. ©Eugène.com

Interview de Nellya

Un cross départemental dans la boue !

Ce mercredi 15 novembre  certains élèves du collège ont participé au cross départemental qui s’est déroulé dans l’hippodrome de Pompadour, la cité du cheval. C’était dur, c’était boueux mais tout le monde est content !

La gadoue ! Source image : La Montagne

Les dix premiers vainqueurs des cross de chaque collège de Corrèze et les volontaires se sont réunis pour ce cross départemental. En tout, ce sont 1400 collégiens qui se sont retrouvés à Pompadour.

Grande chance, il ne pleuvait pas, mais à cause des fortes pluies des derniers jours, le terrain était très boueux.

Des chevaux ouvraient les courses (dans notre collège, le 19 octobre, c’était des vélos !) et le parcours était très difficile : beaucoup de côtes et de descentes, beaucoup de gadoue, beaucoup de blessés. Entre les hypoglycémies, les départs trop rapides, le terrain glissant, les chutes, il y a eu moins d’arrivées que de départs !

Pour récompenser les coureurs, il y avait des chocolatines et du jus de pomme.

Nos camarades ont été vaillants, voici les résultats dans notre collège :

Benjamines

Elisa Drahonnet finit 18e  sur 194

Elodie Vaillé finit 100e

Maelie Gaucher 118e

Sophia Taidir finit 120 e

Kessya Agesilas 168e

 

Benjamins

Siméon Dayma finit 5e sur 284

Luigi Marcandella  23e

Raphaël Clemente 24e

Marcel Duteil 69e

Jules Lacroix 87e

Sacha Raimbault 115e

Fabio Genier 119e

Ugo Breuil 200e

Ethan Viez 226e

Lucas Chanel 255e

Timéo Genier 259e

Mathys Peauger 269e

Mathis Peuch 281e

Evan Fantou 283e

 

Minimes filles

Aubane Veyssiere a fini 16e sur 158

Alicia Lapeyre 36e

Marion Noaille 73e

Lina Puydebois Grigny 104e

Chloé Reysset 149e

Minimes garçons

Antoine Clemente a fini 8e  sur 211

Axel Compte 27e

Guewen Piet  54e

Louis Jammet 75e

Paul Gendrineau 77e

Gabin Delpas 78e

Gabiel Delage 89e

Elouan Leroux 107e

Nino Girin 195e

Article de Léana et Elisa

 

A quoi ça sert de donner un nom aux ouragans?

Ciaran et Domingo viennent de passer en France. Ce ne sont pas des amis en visite mais des ouragans ! Quelle drôle d’idée de donner des noms aux intempéries !

Source : Freepik

Au départ, les noms donnés aux ouragans étaient uniquement des prénoms de fille mais un nouveau       système a été mis en place  depuis 1979 : il se base maintenant sur 6 listes de prénoms de filles comme  de garçons. Ils sont rangés par ordre alphabétique, de A jusqu’à W, le Q et le U sont exclus .

Pourquoi donner des noms à ces ouragans ?

Pour une raison simple de communication. Donner un nom à ces phénomènes météorologiques permet de faciliter la tâche quand on en parle au grand public pour prévenir les risques et expliquer que ce ne sont pas les mêmes ouragans qui passent.

Ensuite, plusieurs études réalisées aux États-Unis ont prouvé que leur donner un nom avait une influence sur nos comportements. La population est plus attentive aux consignes de sécurité, mais elle est aussi beaucoup plus concernée par les appels aux dons en cas de dommages importants.

Source :gulli et world meteorological Organization

Article de Lana et Perle

Géomètre, un métier pas comme les autres

Dans ma famille je  connais un géomètre, je me posais des questions sur ce métier donc je suis allé lui demander de me l’expliquer !

Image fournie par Morgan

Eugène.com : Géomètre, ça à un rapport avec la géométrie ou la géographie ?

Morgan : Avec la géométrie oui ! Mon travail est de contrôler la géométrie des ouvrages qu’on réalise , c’est à dire par exemple que le tracer et les différents axes de rails TGV ou des routes soient conformes aux  plans d’exécution.

Eugène.com : Pourquoi avoir choisi ce métier?

Morgan : Parce que ma conseillère d’orientation m’a orienté vers ce métier, car j’étais bon en dessin et en mathématiques . Donc elle m’a dit qu’il y avait des « Porte Ouvertes » dans un lycée de travaux publics, qu’il fallait que j’aille voir  la section géomètre et topographie. Et ça m’a beaucoup plu !

Eugène.com : Quel est la chose que vous aimez le plus dans ce métier ?

Morgan : Ce que je préfère c’est le contact avec mes collègues.

Eugène.com : Et celle que vous aimez le moins dans ce métier? 

Morgan : Les intempéries et  la météo !  Avec l’hiver, le froid, la pluie, la canicule, c’est pas forcément agréable de travailler dehors !

Article d’Eva

Sortie en soirée : Vive le théâtre et la magie !!

Mercredi 08 novembre à 19h , les internes et les élèves de l’atelier théâtre son allés voir un spectacle de magie au grand théâtre de Tulle.

Source image : sortir à Niort

Cette sortie s’est donc passée le soir et les élèves se sont rendus en bus jusqu’à Tulle avec des adultes du collège (Mme Tessier et Mme Marrou ainsi que 2 surveillants qui s’occupent des internes : Jason et Justine). Ils sont partis à 17h 45 et sont revenus à Objat à 21 h 15. La sortie était financée par le Pass Culture et par le collège. Cela a permis aux internes  et aux apprentis-comédiens de l’atelier théâtre de découvrir un spectacle vivant, avec une scène et des magiciens qui faisaient tout en direct !

La pièce en question s’appelait : « À vue-magie performative« . Sur scène, il y avait 2 magiciens et 4 autres personnes qui aidaient à la technique et  qui ont enchaîné plusieurs tours de magie assez spectaculaires. De jeux d’illusions en disparitions, tous les tours de magie étaient bien là, mais totalement modernisés.

Droits d’auteur de l’image : Blandine Soulage-Rocca

« Tout est là sur le plateau, à vue : une montagne d’objets du quotidien sur une palette que les deux comparses Jérôme Helfenstein et Maxime Delforges, artistes magiciens indisciplinés, vont manipuler au-delà du possible. Tréteaux de bois, bouteilles de verre, poulies, bâches et rouleaux de scotch se parent de mystère et d’un usage, comment dire… très détourné. »

Contrairement au traditionnel costume veste noire et chapeau haut-de-forme noir des magiciens,  ceux qui étaient sur scène portaient plutôt des habits classiques, jean et chemise. Ils ne parlaient pas et mettaient leurs tours en place devant les yeux des spectateurs.

« Sous son air bricoleur et expérimental, ce spectacle dépoussière l’art de la magie – et son lot de lévitations, évasions et apparitions/disparitions. Notre raison et notre logique s’en trouvent toutes tourneboulées. Esprits cartésiens s’abstenir ! »

De l’avis des élèves,  c’était incroyable ! Élisa, qui fait partie de l’atelier théâtre nous a dit : « C’était vraiment  super ! Mais vu que je suis hyper rationnelle ça m’a laissé sur ma faim car j’aurais aimé comprendre les tours de magie ! »

Sources des citations :Théâtre national de l’Empreinte

Article d’Eloïse

Le cross du collège : toute une organisation !

Jeudi 19 octobre, juste avant les vacances de Toussaint, il y a eu le cross du collège. Je suis allée en reportage sur place pour vous !

Alors que tout le monde était dans l’action, je suis allée interviewer Mme Bourdu qui organisait le cross avec ses collègues d’EPS, mais aussi une professeur des écoles qui emmenait ses écoliers au cross  et enfin Siméon Dayma,  le vainqueur des 5eme garçons !

 

Le Cross 2023. Image Eugène.com

Un reportage de Léana

Afficher les mentions légales | Conditions générales d'utilisation | Aide à la rédaction du registre de traitement
Nom et adresse de l’établissement scolaire
Collège Eugène Freyssinet 19 130 Objat
Nom du directeur de la publication
Christian Pouzet
Nom du responsable de la rédaction
Delphine Marrou
Nom et adresse du fournisseur d’hébergement
OVH 2 rue Kellermann – 59100 Roubaix