Poulets grillés
Poulets grillés de Sophie Hénaff (Le Livre de Poche, 2016)
Après une bavure, la commissaire Anne Capestan est nommée à la tête d’une brigade composée uniquement de membres placardisés de la police judiciaire, alcooliques, porte-poisse, homos, écrivains, crétins, pour élucider des affaires non résolues. Même si la mission semble impossible avec cette équipe, Capestan met tout en œuvre pour trouver les coupables et surtout, pour contrarier sa hiérarchie.
On trouve que le livre est humoristique. Ils réussissent à résoudre les enquêtes malgré les défauts des policiers. La couverture nous a donnés envie de le lire. On trouve le livre ironique, comme l’histoire de la brigade. Ce qu’on aime bien est qu’ils remontent à beaucoup d’enquêtes anciennes. Nous nous sommes laissés emporter par l’histoire. Mais nous avons pas apprécié les passages choquants et c’était trop détaillé.
J’ai du mal à lire car ces phrases sont assez compliquées. Quand j’ai lu, j’ai l’impression que cette histoire m’a beaucoup intéressé. J’aime le personnage principal, Capistan. Mais il y a trop du personnages. J’aime l’humour, l’originalité et le côté réaliste.
On peut se perdre facilement dès le début…
Livre très intéressant car on se met pas mal dans le livre, ce qui nous donne envie de le lire jusqu’à la fin. J’ai beaucoup aimé le personnage principal, le commissaire Capestan qui est une très bonne commissaire et qui se retrouve à la tête d’une brigade de pires « flics » et qui assume son rôle jusqu’au bout sans abandonner, ce qui nous permet de nous mettre mieux dans sa peau.
J’ai pas encore entièrement terminé ce livre, et j’étais un peu perdue. Finalement j’ai fini par le trouver pas mal, même si j’avais pas terminé.
Poulets grillés est un roman policier hors du commun qui change énormément des romans policiers courants, que je n’apprécie pas spécialement. L’idée d’une brigade de flics bien particuliers avec chacun une personnalité bien à eux fait que l’on s’attache facilement à chacun d’eux. C’est un livre accrocheur où l’on ne voit pas passer les chapitres et où le suspense est à son comble, avec beaucoup de touches d’humour en gardant le coté réaliste. Ce livre nous plonge dans une histoire originale et vraiment intéressante.
Poulets grillés n’est définitivement pas un polar comme les autres. Dans un premier temps, la façon d’écrire est aussi originale que l’enquête en elle-même.
Ce roman est différent de tout ce que j’avais pu lire avant, car en général, l’atmosphère dégagée par un polar est assez lourde, pesante, voire angoissante. Poulets-grillés, c’est l’inverse ! Il nous donne envie de rire, de pleurer des fois, mais l’atmosphère n’est jamais comparable à celle d’un polar classique.
Le suspense est tout le temps présent, le coupable est le personnage auquel on pense le moins.
Ce livre est un livre hors-norme, principalement grâce à l’idée de base : une brigade des pires policiers ! Au début, on s’attend à lire une sorte de polar vidéo-gag, mais pas du tout. L’enquête est très sérieuse et les personnages très investis (particulièrement Capestan). Néanmoins, l’humour n’en est pas moins présent… Les personnalités de ces « ratés » et surtout leurs différences forment le gros de l’humour car cela les entraîne dans des situations assez cocasses. Ils sont attachants, tous autant qu’ils sont, et le petit chien rajoute encore une touche de rigolade et d’envie de garder ces personnages auprès de nous.
Le personnage principal de l’histoire, Capestan, est tout particulièrement rentré dans nos cœurs. Elle incarne un modèle d’optimisme, même dans le pire elle garde espoir, et se bat pour atteindre son but, tout en nous donnant envie de relativiser nos malheurs.
L’idée des deux histoires en parallèle est originale également. Certes, au début cela perturbe un peu, mais on s’y habitue vite et lorsque les deux histoires se rejoignent, on comprend le sens de ce choix d’écriture.
Le lien avec la Creuse est aussi une excellente idée.
Enfin, pour les points négatifs, je n’en vois qu’un : lorsque l’on nous demande d’argumenter, nous sommes frustrés de ne voir que du positif !
Poulets Grillés est un livre très attrayant. Les changements de point de vue des personnages sont rares mais intéressants. En effet, le livre est principalement concentré sur la Commissaire Capestan.
Le fait que cela se passe pendant un temps en Creuse, que l’on parle d’Aubusson, nous, Creusois, nous aide à nous plonger dans l’histoire.
Les personnages sont travaillés, développés et attachants, ils ont tellement de caractère que l’histoire n’en parait que plus réelle.
Le seul point négatif est que le début est peu accrocheur, lent, même si d’un côté c’est fait pour mieux nous intégrer dans la peau du personnage.
En conclusion, c’est un très bon livre.
Je trouve que ce livre change des autres polars, c’est original pour le thème policier. Capestan incarne un modèle de courage et d’optimisme, même quand personne ne croit en elle. L’idée que les ratés deviennent des héros est bien, cela apporte la touche d’humour. Les personnalités des personnages les rendent attachants, cela rythme une partie de l’histoire. Le suspense est bien gardé et le lien avec la Creuse me touche. Même si au début, on a du mal à se plonger dedans.
Ce livre a été très facile à lire, cependant il ne m’a pas beaucoup plu. Les personnages ne sont pas très attachants à l’exception d’Anne Capestan. Le début du roman est assez long et ennuyeux à lire, mais ensuite cela s’accélère et l’histoire devient un peu plus intéressante. Le personnage d’Anne Capestan m’a énormément plu, elle est courageuse et elle résout beaucoup de problèmes. Quelques scènes sont drôles mais au fil du livre, l’humour est lassant. Le suspense est cependant présent. Ce livre est donc un bon roman policier malgré des passages assez lents.
Poulets grillés est un roman policier écrit par Sophie Hénaff qui pourrait être illustré par le proverbe : « tel est pris qui croyait prendre ».
Ce livre nous parle de policiers qui se retrouvent ensemble dans une brigade ; normalement, elle est composée de 20 policiers, mais seuls 4 d’entre eux se présenteront le premier jour au nouveau « commissariat » :
-Capestan, qui a eu la gâchette facile ;
-Torrez, qui cause à chacune de ses missions la mort ou des blessures à ses coéquipiers ;
-Rosières, tient un journal qui dérange le commissariat ;
-Lebreton, est homosexuel, ce qui dérange dans ce milieu très viril.
Ces 4 policiers travaillent sur 2 affaires qui semblent totalement différentes, mais qui en réalité sont liées. Ils vont s’apercevoir que l’un de ceux qu’ils connaissent peut être le tueur.
J’ai apprécié la lecture de ce livre car on rencontre des caractères très différents. Ce roman nous montre qu’en essayant d’éloigner les soupçons, on se fait plus souvent prendre qu’en les laissant là où ils sont. J’ai aussi beaucoup aimé ce livre car il y une grande fluidité de lecture et le texte est simple à comprendre ce qui le rend fabuleux. A ne pas rater.
L’avez-vous lu ?
Personnellement, j’ai énormément apprécié la lecture de ce livre.
L’histoire nous est contée du point de vue des personnages principaux, une équipe de policiers avec plus de défauts que d’héroïsme qui malgré des difficultés se battent ensemble pour résoudre les affaires qui leur sont attribuées. Ils me semblent plus humains et plus complexes que les stéréotypes des héros sans peurs et sans reproches habituels.
Ce livre a été écrit avec beaucoup d’humour, ce qui m’a permis de rentrer facilement dans l’histoire et l’intrigue m’a empêchée de le lâcher avant de l’avoir terminé. Il aborde aussi des thèmes difficiles et des thèmes émouvants tels que l’esprit d’équipe, la famille, l’addiction, l’homosexualité, la corruption, le meurtre… cela me fait réfléchir sur le regard déformé que nous portons sur les autres et sur celui qu’ils portent sur nous.
J’ai donc trouvé cette œuvre drôle et émouvante, elle m’a happée du début à la fin.
Sophie met en avant dans son polar les antihéros. Les thèmes principaux que Sophie développe sont le meurtre et l’enquête avec l’inclusion de personnages atypiques. Les lieux principaux où se déroule l’histoire sont Paris, la Creuse, la Vendée durant le XXI siècle.
La phrase d’accroche serait : « Grillés ou pas trop ! »
Les principaux défauts seraient des passages avec un rythme faible ainsi que de long moment d’intrigue. Les principales qualités de « Poulets Grillés » sont le coup de cœur pour les personnages, les moments comiques présents dans certains passages ainsi qu’une fin sans surprise.
Le roman s’intitule « Poulets Grillés ». Écrit par Sophie Hénaff. Roman noir. C’est l’histoire d’une femme qui élucide un crime.
Cette femme, Anne Capestan, tire une balle de trop. A la suite de cet incident, son supérieur la rétrograde et lui retire son arme. Il lui créé un nouvel emploi et elle se retrouve à la tête d’une équipe de bras cassés.
Nous avons apprécié ce livre car les histoires contenant des enquêtes et du mystère nous intéressent beaucoup. C’est un mélange d’humour, de dérision et de réalisme, ce qui nous plaît fortement. Le début de l’histoire nous donne envie de continuer la lecture de ce roman. Il nous met directement dans l’ambiance.
Lorsque l’on commence le livre, il nous attire et nous donne envie de continuer, il est humoristique, ce qui est agréable. Le suspense mis par l’auteur nous captive mais il retombe trop vite à chaque fin d’actions. Le doute mis sur la brigade et sur la résolution de l’affaire nous montre que ce qui est raté est en fait le meilleur.
Le début est un peu lent et difficile à lire, mais cela s’arrange quand l’équipe arrive. L’intrigue est bien ficelée, mais le fait de suivre deux enquêtes en même temps est parfois compliqué. De plus, il y a trop de personnages, leurs noms sont difficiles à retenir et certains disparaissent trop vite. Enfin, il manque de clarté dans le découpage des chapitres.
En revanche, ce livre est drôle et plein d’humour. Les personnages, avec tous leurs problèmes, sont regroupés dans la même brigade. C’est un concept original, l’atmosphère est tranquille et décalée face aux meurtres. Capestan est très réussie, c’est une battante. Ces personnages stéréotypés et très solidaires entre eux cassent l’ambiance noire et donne un aspect positif à la différence. L’idée que tout le monde peut être utile fait réfléchir au regard que l’on porte sur les autres.