Le garçon qui courait

Le visuel de la couverture est propriété de l’éditeur

Le garçon qui courait de François-Guillaume Lorrain, éditions Sarbacane

Août 1936 : un jeune athlète vient de remporter le marathon aux J.O. de Berlin ; et pourtant, il semble bien triste sur le podium. Il cache son maillot japonais. Car Kiteï Son, alias Kee-Chung, vient de Corée, pays annexé par le Japon, et il a du courir sous les couleurs de l’ennemi.

D’où vient-il ? Quelle a été son enfance, dans une petite ville près de la frontière chinoise ? Comment est-il devenu le coureur le plus endurant du monde ? Quelles épreuves a-t-il traversées et quel sera son sort lorsqu’il devra rentrer dans une Corée sous le joug qui voudrait le fêter en libérateur ?

L’histoire vraie d’un jeune homme déterminé à résister à l’oppression japonaise tout en poursuivant son rêve.

8 commentaires à propos de “Le garçon qui courait”

  1. J’ai trouvé que le héros de l’histoire, Kiteï Son, alias Kee-Chung, est émouvant du fait qu’il subit la pression des envahisseurs japonais. L’histoire est non seulement émouvante, mais aussi elle nous sensibilise à l’intérêt que l’on porte aux autres. Cette histoire vraie nous apprend que, derrière chaque personne, d’un livre ou de la vraie vie, se cache une personnalité qui nous est inconnue à tous. Connaissons-nous nous-même notre véritable personnalité ? On ne peut le savoir que par soi-même et ce personnage a découvert sa passion pour la course en essayant d’échapper à l’envahisseur japonais. Il a su suivre ce que son instinct lui disait et a vécu sa vie à sa façon.
    C’est ce que j’ai préféré, qu’il sache défendre son opinion et suivre son destin.

    • Cool mais pourquoi juste avant tu as dit qu’il était bien???
      Je cite : « Ce livre est super, j’ai adoré les personnages » le 26 novembre 2018 à 9h36…

      Merci de ta réponse qui m’aidera un peu plus je l’espère… 🙂

  2. Ce livre est très complet, surtout lorsque Kee-Chung court et l’histoire sur l’empire japonais. Je l’ai beaucoup aimé, même si j’ai du mal à croire que ce soit une histoire vraie. Au départ, on a du mal à s’accrocher à l’histoire, mais lorsque Kee-Chung court, on commence à tourner les pages!

  3. J’ai beaucoup aimé ce livre car c’était très émouvant et très particulier. L’histoire est magnifique, le jeune homme qui essaie de fuir face aux méchants qui veulent le tuer.
    La fin du livre est un peu triste mais sinon c’est magnifique !

  4. Voilà ce que j’ai envie de vous dire:

    Je ne connaissais pas grand-chose de la Corée quand j’ai découvert le destin du marathonien Sohn Kee-Cheung. J’ai vu sa photo, sur le podium des Jeux Olympiques de Berlin. Il avait gagné la médaille d’or, mais il baissait la tête, il avait l’air si triste. Etrange. Puis j’ai vu son maillot japonais, j’ai compris qu’il avait gagné pour l’ennemi, le conquérant, alors je me suis demandé: mais que se passait-il dans sa tête? Et d’où venait-il? Commet était-il arrivé là, depuis son enfance en Corée? Peu d’éléments historiques en guise de réponse, mais un grand appel d’air pour lui courir après et rendre compte à ma manière, romancée, de ce mystère. Du souffle d’un enfant, puis d’un petit homme qui courait pour son pays écrasé. De cette résistance où la politique, l’impérialisme, l’avait marqué dans sa chair. Ce fut le début de mon marathon à moi…

    A bientôt et bon courage
    François-Guillaume Lorrain

  5. J’ai trouvé l’histoire de cet homme incroyable et triste car il a perdu son frère. Je recommande ce livre , il est palpitant parce que l’homme en question doit se livrer aux japonais en faisant des tâches contre son gré et on se demande s’il va se retourner contre eux. Je pense qu’il faut montrer son histoire à tout le monde .